Ce récit m'a profondément touché : la justesse de ton de M.H Lafon, sa grande tendresse envers la terre du Cantal - sans sombrer dans les clichés du choc culturel entre paysans et citadins, la joie d'apprendre et de transmettre... Une oeuvre dans le sillage des romans de
Pierre Michon ou du Ramuz de la fête des vignerons.
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