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Critique de Meel
Quitter le monde des Sang-Bleu est plus difficile que je ne le pensais. C'est 8 tomes* de pur bonheur, d'émotions fortes et intenses. Tout ça va me manquer, les personnages, le style de l'auteur, le fait de voyager dans le monde entier juste par le biais des mots. J'ai beaucoup de mal à me dire que j'ai fini la saga... Ce dernier tome la clos presque parfaitement.
On retrouve tous les personnages, Theodora, Oliver, les jumeaux Force, Bliss, Kingsley mais nous en rencontrons aussi des nouveaux, que j'ai adorés !
L'alternance des points de vue à chaque chapitre est une chose que j'ai beaucoup aimé dès le début de la saga et je suis très heureuse que l'auteur ait gardé ce système de narration jusqu'au bout. Cela permet non seulement de voyager à travers le monde (Rome, Londres, Chicago,...) mais aussi de savoir ce que chaque personnage fait et ressent. Dans ce septième tome, nous avons le droit aux points de vue de Theo, Mimi, Bliss et Allegra. J'étais tout d'abord déçue de ne pas avoir celui de Jack mais en y repensant, je comprends la décision de Melissa de la Cruz.
Franchement, il n'y a aucun des personnages principaux qui ne m'a agacée, je les ai tous adorés, sans exception ! Au fil de la saga, on apprend à vraiment les connaître, qui ils sont au fond. C'est peut-être pour cela que c'est difficile de sortir de cet univers. Je me suis attachée à chacun d'entre eux sans m'en rendre compte.
Oui, il n'y a pas de doute. Cette saga fait bien partie de mes sagas préférées.
Malheureusement, elle n'est pas parfaite. Certains n'ont pas aimé le premier tome à cause de l'importance des marques et de l'esthétique. Personnellement, je n'y ai pas fait attention. A l'inverse, dans Les Portes du Paradis, c'est le style de l'auteur qui m'a gênée. J'ai remarqué que les tournures des phrases étaient beaucoup trop simples et me donnaient parfois l'impression que les personnages, surtout Theodora, n'étaient que des gamins. C'est vraiment dommage. Concernant l'autre point, je me pose des questions sur son origine. Est-ce moi ou l'auteur ? Ayant lu le sixième tome il y a quelques mois déjà, je ne me souvenais pas exactement de tout et plus particulièrement de la mission de Bliss dans ce tome là. Tout le long du livre, j'ai eu l'impression d'avoir raté toute une partie à propos de ce personnage.
Cela ne m'a cependant pas empêchée d'aimer ma lecture.
J'ai dit plus haut que j'ai des difficultés à quitter ce monde mais je n'ai pas pleuré pour autant à la fin et pourtant, quelle fin ! Elle est à la fois tellement triste et si joyeuse ! Quand j'y repense, mon coeur se serre pour certains personnages mais un sourire apparaît pour d'autres.
Merci, merci Melissa de la Cruz pour m'avoir fait tant rêver. Les Vampires de Manhattan sera l'une des sagas que je relirais avec beaucoup de plaisir...
Lien : http://followthelight.skyroc..
On retrouve tous les personnages, Theodora, Oliver, les jumeaux Force, Bliss, Kingsley mais nous en rencontrons aussi des nouveaux, que j'ai adorés !
L'alternance des points de vue à chaque chapitre est une chose que j'ai beaucoup aimé dès le début de la saga et je suis très heureuse que l'auteur ait gardé ce système de narration jusqu'au bout. Cela permet non seulement de voyager à travers le monde (Rome, Londres, Chicago,...) mais aussi de savoir ce que chaque personnage fait et ressent. Dans ce septième tome, nous avons le droit aux points de vue de Theo, Mimi, Bliss et Allegra. J'étais tout d'abord déçue de ne pas avoir celui de Jack mais en y repensant, je comprends la décision de Melissa de la Cruz.
Franchement, il n'y a aucun des personnages principaux qui ne m'a agacée, je les ai tous adorés, sans exception ! Au fil de la saga, on apprend à vraiment les connaître, qui ils sont au fond. C'est peut-être pour cela que c'est difficile de sortir de cet univers. Je me suis attachée à chacun d'entre eux sans m'en rendre compte.
Oui, il n'y a pas de doute. Cette saga fait bien partie de mes sagas préférées.
Malheureusement, elle n'est pas parfaite. Certains n'ont pas aimé le premier tome à cause de l'importance des marques et de l'esthétique. Personnellement, je n'y ai pas fait attention. A l'inverse, dans Les Portes du Paradis, c'est le style de l'auteur qui m'a gênée. J'ai remarqué que les tournures des phrases étaient beaucoup trop simples et me donnaient parfois l'impression que les personnages, surtout Theodora, n'étaient que des gamins. C'est vraiment dommage. Concernant l'autre point, je me pose des questions sur son origine. Est-ce moi ou l'auteur ? Ayant lu le sixième tome il y a quelques mois déjà, je ne me souvenais pas exactement de tout et plus particulièrement de la mission de Bliss dans ce tome là. Tout le long du livre, j'ai eu l'impression d'avoir raté toute une partie à propos de ce personnage.
Cela ne m'a cependant pas empêchée d'aimer ma lecture.
J'ai dit plus haut que j'ai des difficultés à quitter ce monde mais je n'ai pas pleuré pour autant à la fin et pourtant, quelle fin ! Elle est à la fois tellement triste et si joyeuse ! Quand j'y repense, mon coeur se serre pour certains personnages mais un sourire apparaît pour d'autres.
Merci, merci Melissa de la Cruz pour m'avoir fait tant rêver. Les Vampires de Manhattan sera l'une des sagas que je relirais avec beaucoup de plaisir...
Lien : http://followthelight.skyroc..
