Luchino Visconti était un grand lecteur de la Recherche. Bien qu il ait porté à l'écran d'autres auteurs, le cinéaste du temps n'a pas cherché à dissimuler sa passion pour le chef d'oeuvre de Marcel Proust: Certains de ses films comme Le Guépard (1963), Sandra (1965), Mort à Venise (1971), L'Innocent (1976), rencontrent l'univers de Prous par des allusions parfois explicites et par leur esthétique. Cet essai se propose d'analyser ces affinités. ll est accompagné d'u... >Voir plus