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Critique de Altervorace
En janvier, je te parlais de ma reprise de la lecture en VO avec une romance assez chouette, premier tome d'une série de cinq bouquins : The Deal. du coup, j'ai eu envie de me plonger dans le second opus, non seulement parce que j'étais restée curieuse à propos du personnage de Logan, jeune premier de The Mistake mais aussi parce que le niveau de langue avait été tout à fait accessible pour moi…
Note juste, ami-lecteur, que cette romance a été traduite chez Hugo Roman et que tu n'es donc pas obligé te la coltiner dans la langue de Shakespeare…
Nous avions donc rencontré Logan dans le premier tome de Off-campus où il était manifeste qu'il avait un gros coup de coeur pour la petite amie de son meilleur ami… Ouais la vie est parfois un tantinet taquine. Sincèrement, dès la fin de The Deal, je me demandais comment Logan s'en sortirait et de quelle manière il rencontrerait l'amour. Bah oui, après tout nous sommes dans une romance hein, on sait que tout tournera autour de cette relation pleine de rose et de sucre.
Commençons par évoquer rapidement la langue. Je le rappelle, je n'ai pas un très bon niveau en anglais et s'il est suffisant pour lire Elle Kennedy, il ne l'est certes pas pour émettre un avis quelconque sur sa plume. Pour ce tome en particulier, j'ai été soulagée de me rendre tout de suite compte que je n'aurais, une fois encore, aucune difficulté à suivre le périple sentimental de Grace et Logan.
Sincèrement ami-lecteur, j'ai eu du mal à entrer dans cette histoire. Là où The Deal m'avait étonnée par sa maturité, ici je me suis retrouvée plongée dans de la vraie romance YA. On a le droit au mec qui enchaîne les coups d'un soir mais ne jugeons pas hein, il le fait parce qu'il a une situation familiale merdique et que son crush du moment, Hannah, passe son temps au lit avec son chéri, meilleur ami du pauvre bougre… Face à lui, on découvre Grace, première année gentille, studieuse et vierge. Sincèrement toute la première partie du bouquin, quand même 175 pages sur 283, m'a un peu ennuyée. Je ne dis pas que ce n'est pas mignon, mais je crois qu'à mon âge supra-canonique, il me faut plus que du mignon dans une histoire d'amour. D'un autre côté, si on prend le premier opus de Off-campus, qui évoque des sujets très lourds, je peux comprendre que l'autrice ait choisi d'enchaîner avec quelque chose de plus light. Après cette fameuse frontière des 175 pages, j'ai commencé à apprécier l'histoire. Pour de vrai… Car Grace est très amusante et donne à Logan une liste de tâches très marrante à effectuer.
Hélas, la fin m'a un peu refroidie… J'ai trouvé que toute la situation de Logan, nanti d'un père alcoolique dont l'addiction l'empêchait de réaliser son rêve de passer hockeyeur pro, se résolvait avec trop de facilité, presque comme par magie. Malgré ces nombreux défauts, j'ai mis une note acceptable à The Mistake et tu dois peut-être te demander pourquoi ami-lecteur… Et bien j'ai tout de même pu retrouver l'intelligence de madame Kennedy avec le personnage du père de Logan, l'alcoolique qui fait souffrir ses fils à cause de son addiction... L'auteure a la finesse de ne pas dédramatiser la douleur qu'il cause à son entourage et elle ne le dédouane absolument pas de ses fautes. Elle ne le dépeint pas ni un monstre, ni comme une simple victime. J'ai aimé que ce ne soit qu'un être humain rongé par son addiction et la culpabilité qui en découle…
Reste une romance mignonne mais un tantinet décevante… Et du coup j'hésite un peu à poursuivre Off-campus bien que le tome suivant ait Dean pour héros, un gros obsédé qu'on a du mal à cerner et qui, je l'avoue, provoque ma curiosité…
Lien : http://altervorace.canalblog..
Note juste, ami-lecteur, que cette romance a été traduite chez Hugo Roman et que tu n'es donc pas obligé te la coltiner dans la langue de Shakespeare…
Nous avions donc rencontré Logan dans le premier tome de Off-campus où il était manifeste qu'il avait un gros coup de coeur pour la petite amie de son meilleur ami… Ouais la vie est parfois un tantinet taquine. Sincèrement, dès la fin de The Deal, je me demandais comment Logan s'en sortirait et de quelle manière il rencontrerait l'amour. Bah oui, après tout nous sommes dans une romance hein, on sait que tout tournera autour de cette relation pleine de rose et de sucre.
Commençons par évoquer rapidement la langue. Je le rappelle, je n'ai pas un très bon niveau en anglais et s'il est suffisant pour lire Elle Kennedy, il ne l'est certes pas pour émettre un avis quelconque sur sa plume. Pour ce tome en particulier, j'ai été soulagée de me rendre tout de suite compte que je n'aurais, une fois encore, aucune difficulté à suivre le périple sentimental de Grace et Logan.
Sincèrement ami-lecteur, j'ai eu du mal à entrer dans cette histoire. Là où The Deal m'avait étonnée par sa maturité, ici je me suis retrouvée plongée dans de la vraie romance YA. On a le droit au mec qui enchaîne les coups d'un soir mais ne jugeons pas hein, il le fait parce qu'il a une situation familiale merdique et que son crush du moment, Hannah, passe son temps au lit avec son chéri, meilleur ami du pauvre bougre… Face à lui, on découvre Grace, première année gentille, studieuse et vierge. Sincèrement toute la première partie du bouquin, quand même 175 pages sur 283, m'a un peu ennuyée. Je ne dis pas que ce n'est pas mignon, mais je crois qu'à mon âge supra-canonique, il me faut plus que du mignon dans une histoire d'amour. D'un autre côté, si on prend le premier opus de Off-campus, qui évoque des sujets très lourds, je peux comprendre que l'autrice ait choisi d'enchaîner avec quelque chose de plus light. Après cette fameuse frontière des 175 pages, j'ai commencé à apprécier l'histoire. Pour de vrai… Car Grace est très amusante et donne à Logan une liste de tâches très marrante à effectuer.
Hélas, la fin m'a un peu refroidie… J'ai trouvé que toute la situation de Logan, nanti d'un père alcoolique dont l'addiction l'empêchait de réaliser son rêve de passer hockeyeur pro, se résolvait avec trop de facilité, presque comme par magie. Malgré ces nombreux défauts, j'ai mis une note acceptable à The Mistake et tu dois peut-être te demander pourquoi ami-lecteur… Et bien j'ai tout de même pu retrouver l'intelligence de madame Kennedy avec le personnage du père de Logan, l'alcoolique qui fait souffrir ses fils à cause de son addiction... L'auteure a la finesse de ne pas dédramatiser la douleur qu'il cause à son entourage et elle ne le dédouane absolument pas de ses fautes. Elle ne le dépeint pas ni un monstre, ni comme une simple victime. J'ai aimé que ce ne soit qu'un être humain rongé par son addiction et la culpabilité qui en découle…
Reste une romance mignonne mais un tantinet décevante… Et du coup j'hésite un peu à poursuivre Off-campus bien que le tome suivant ait Dean pour héros, un gros obsédé qu'on a du mal à cerner et qui, je l'avoue, provoque ma curiosité…
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