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Critique de Noctenbule


Comme à son habitude, Aya Kanno débute avec un rappel de ce qu'est la virilité. Cela se fait par le biais du père de Ryô. le gars macho est choqué de voir des peluches et de manger dans un restaurant thématique autour des princesses. Asuka découvre comment doit réagir un vrai homme. C'était l'introduction misogyne. Après, on retrouve nos otomens. Déjà, le héros principal qui s'illustre encore dans la cuisine.

Il accompagne son beau-père pour faire un gâteau de Ryô. C'est un moment très drôle et assez particulier. Encore une fois, on souligne, l'incapacité d'un homme virile à se servir d'un fouet ou d'une poche à douille. Ridicule à souhait, il faut l'avouer.

Le mangaka va plus loin en retrouvant Tônomine, expert en maquillage pour femme. Il va prouver à nouveau son savoir faire pour prouver à nouveau son talent pour ridiculiser son pseudo ennemi, Asuka. Et apparaît un nouveau personnage, Kitora qui aime passionnément les fleurs. Donc on admire la diversité des passions de ces garçons. On voit que l'addiction est forte avec le nombre de fleurs présentes. Mais le noir et blanc limite l'exubérance des plantes. En cas, on admire le travail des assistants du dessinateur pour leur travail. Voilà les trois otomens avec des compétences spécifiques. Jusqu'où va aller le mangaka? Surtout il permet de dire que les femmes ont beaucoup d'atout dans leur poches contrairement aux mecs. Pour contrebalancer un peu tout ça, Ryô a été élevé comme un gars. Donc elle a été dans des camps de survie, a été formée à plusieurs arts martiaux et a vécu des entrainements très intensifs depuis toute petite. Malgré tout cela, elle garde un corps tout chétif comme le cliché d'une vraie fille. On reste dans la légèreté et le stéréotype.
Lien : https://22h05ruedesdames.com..
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