Otomen, tome 13

Enfin un tome qui ne rend pas gloire au masculinisme. Surtout un message porter par une épouse brisé car son mari a décidé de devenir pâtissier. Quelle honte! Aya Kanno possède un sens de l'humour très particulier. A part être navrant comme attitude, on ne peut rien en dire d'autres. Par chance, là on se focalise plus sur Ryô et sa connaissance du judo. Elle donne un coup de main à entraîner un groupe d'adolescent dans une école de garçons. Pour y faire cours, elle se travestit en garçon. On ne va pas s'étendre sur le fait qu'un garçon tombe amoureux d'elle. Et le fait qu'elle doit aussi se camoufler pour montrer sa prouesse dans un sport dit masculin. le jeu des genres n'est pas trop poussé heureusement.

La relation entre Asuka et Ryô n'évolue pas. Elle stagne avec une pudeur digne d'un enfant de 4 ans. Même se tenir la main après un an reste irréalisable. Pour s'embrasser n'y pensons pas. La minette se camoufle en secret et ne dit rien à son copain. Pourtant, elle lui fait confiance mais pas assez pour des futilités. Ils sont juste ennuyant et sans grand intérêt, c'est tout. Et désappointée par la fin où le héros souhaite se marier avec son amoureuse et l'aimée tout sa vie. Que de niaiserie pour pré-adolescentes. Rien de surprenant non plus à ce rêve simplette. On nous avait préparé à ça dès le début. A quand un peu de remue-ménage dans toutes ces actions prévisibles? On avance doucement vers la fin, croisons les doigts.
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