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Critique de tynod


Un pêle-mêle génial autour d'une conversation téléphonique.
En juin 1934, Staline téléphone à Boris Pasternak, au sujet de l'arrestation du poète Ossip Mandelstam.
Ismail kadare délire avec ironie, sur les différentes interprétations données à ce dialogue entre deux géants : le tyran et l'écrivain.
Auteur volubile, le romancier albanais crée des diversions, parle de culture, dénonce le totalitarisme et met l'accent sur les grands mythes de l'humanité.
Parfois bouffon, toujours lucide et brillant, il s'oppose aux dogmes communistes et souligne la fragilité du dictateur face à la poésie et au savoir.
Depuis Néron et Sénèque jusqu'à notre monde du XXI ième siècle, rien à changer, l'écrit reste une arme pour combattre l'inconcevable.
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