>
Critique de PGilly
Lisa Jewell culmine au sommet de son art dans son dernier opus, le troisième en ce qui me concerne après la mini-déception de On se reverra et la grande séduction de Je serai ton ombre.
L'écriture fluide sinue entre des personnages féminins à l'étroit dans leur peau. Chacune s'efforce d'élargir l'étoffe de son existence à sa façon, louable ou répréhensible. L'intrigue entre lace recherche de la vérité et tiraillements familiaux, jamais anodins. Les parties dialoguées sont entrecoupées de brèves introspections qui reflètent le questionnement et l'évolution de femmes à la croisée des chemins. La temporalité court sur une année et demie, parfaitement maîtrisée en allers retours constant entre hier et aujourd'hui.
Je me suis vraiment régalé jusqu'à la dernière page. Je ne serais pas étonné si Lisa Jewell changeait de genre après ce coup de maîtresse comme le laisse supposer une auteure de roman policier discrètement active dans la résolution d'un mystère apparemment insoluble.
L'écriture fluide sinue entre des personnages féminins à l'étroit dans leur peau. Chacune s'efforce d'élargir l'étoffe de son existence à sa façon, louable ou répréhensible. L'intrigue entre lace recherche de la vérité et tiraillements familiaux, jamais anodins. Les parties dialoguées sont entrecoupées de brèves introspections qui reflètent le questionnement et l'évolution de femmes à la croisée des chemins. La temporalité court sur une année et demie, parfaitement maîtrisée en allers retours constant entre hier et aujourd'hui.
Je me suis vraiment régalé jusqu'à la dernière page. Je ne serais pas étonné si Lisa Jewell changeait de genre après ce coup de maîtresse comme le laisse supposer une auteure de roman policier discrètement active dans la résolution d'un mystère apparemment insoluble.
