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Critique de evergreen13
Meurtres à l'Exposition Universelle
Je ne suis pas très fan des polars historiques, et je suis souvent déçue, à quelques exceptions près. Mais, challenge Babelio oblige, me voici à la recherche d'un livre avec la Tour Eiffel en couverture ! Mon choix s'est finalement porté sur celui-ci, premier d'une série de 12 si j'en crois sa fiche. Pour ma part, ce sera le premier, et le dernier, cette lecture ne m'a pas convaincue.
Je ne reviendrais pas en détail sur l'intrigue, du reste c'est ce qui m'a le plus déçue, le côté polar est très faible et la résolution du « mystère plus que capilotracté…
En revanche, j'ai bien aimé le contexte historique dans lequel s'inscrit ce roman -l'Exposition Universelle de 1889 (dont la Tour Eiffel était la vedette incontestée)-, très bien rendu, ainsi que la balade dans ce Paris de la fin du XIXème siècle, où on déplaçait en fiacre ou encore en omnibus (tiré par des chevaux). Un Paris au bord de la modernité mais où subsistaient des îlots de pauvreté terrible (mais est-ce que ça a vraiment changé ?), où il y avait encore des petits métiers improbables (biffin par exemple) et aujourd'hui disparus, où l'on pouvait croiser des écrivains célèbres et où la photographie tentait de concurrencer la peinture.
En résumé, je me suis pas mal ennuyée (de plus, le titre est mensonger, il ne se passe pas grand-chose Rue des Saint-Pères !).
Je ne suis pas très fan des polars historiques, et je suis souvent déçue, à quelques exceptions près. Mais, challenge Babelio oblige, me voici à la recherche d'un livre avec la Tour Eiffel en couverture ! Mon choix s'est finalement porté sur celui-ci, premier d'une série de 12 si j'en crois sa fiche. Pour ma part, ce sera le premier, et le dernier, cette lecture ne m'a pas convaincue.
Je ne reviendrais pas en détail sur l'intrigue, du reste c'est ce qui m'a le plus déçue, le côté polar est très faible et la résolution du « mystère plus que capilotracté…
En revanche, j'ai bien aimé le contexte historique dans lequel s'inscrit ce roman -l'Exposition Universelle de 1889 (dont la Tour Eiffel était la vedette incontestée)-, très bien rendu, ainsi que la balade dans ce Paris de la fin du XIXème siècle, où on déplaçait en fiacre ou encore en omnibus (tiré par des chevaux). Un Paris au bord de la modernité mais où subsistaient des îlots de pauvreté terrible (mais est-ce que ça a vraiment changé ?), où il y avait encore des petits métiers improbables (biffin par exemple) et aujourd'hui disparus, où l'on pouvait croiser des écrivains célèbres et où la photographie tentait de concurrencer la peinture.
En résumé, je me suis pas mal ennuyée (de plus, le titre est mensonger, il ne se passe pas grand-chose Rue des Saint-Pères !).
