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Critique de BOOKCATCHER13
Un excellent polar islandais.
En ces temps de canicule, je m'inscris à un challenge de polar nordique sur Instagram. Arnaldur Indridason est un des auteurs proposés par Triple Mag.
La Cité des jarres est un excellent roman policier. La preuve ? Je l'ai lu en une journée, une journée de repos, certes, mais une journée.
Au départ, l'intrigue est très classique. le corps d'un vieil homme est retrouvé. L'enquête va vite montrer que la victime n'était pas très recommandable... son ordinateur regorge de films pornographiques, il avait été accusé de viol dans le passé... La police essaie d'élucider le crime. Parmi les enquêteurs, le héros de cette saga est Erlendur, un homme d'âge mûr, taciturne, divorcé, un peu cabossé par la vie. Je sais, c'est un type de personnage récurrent pour n'importe quel adepte de roman policier, mais ne passez pas à côté de cet auteur : L'écriture est très belle, et ce n'est pas un simple page turner que l'on oublie en quelques jours. La psychologie des personnages est bien esquissée, ils ont tous des failles et sont terriblement humains. Bémol : ils ont tous des noms imprononçables ;-)
Pourquoi ce titre ? Vous le saurez en lisant ce livre, mais âmes sensibles s'abstenir... Indice... j'ai pensé pendant ma lecture à la mère de Verlaine qui, paraît-il, conservait les foetus de ses fausses couches dans du formol pour les mettre sur sa cheminée...
En ces temps de canicule, je m'inscris à un challenge de polar nordique sur Instagram. Arnaldur Indridason est un des auteurs proposés par Triple Mag.
La Cité des jarres est un excellent roman policier. La preuve ? Je l'ai lu en une journée, une journée de repos, certes, mais une journée.
Au départ, l'intrigue est très classique. le corps d'un vieil homme est retrouvé. L'enquête va vite montrer que la victime n'était pas très recommandable... son ordinateur regorge de films pornographiques, il avait été accusé de viol dans le passé... La police essaie d'élucider le crime. Parmi les enquêteurs, le héros de cette saga est Erlendur, un homme d'âge mûr, taciturne, divorcé, un peu cabossé par la vie. Je sais, c'est un type de personnage récurrent pour n'importe quel adepte de roman policier, mais ne passez pas à côté de cet auteur : L'écriture est très belle, et ce n'est pas un simple page turner que l'on oublie en quelques jours. La psychologie des personnages est bien esquissée, ils ont tous des failles et sont terriblement humains. Bémol : ils ont tous des noms imprononçables ;-)
Pourquoi ce titre ? Vous le saurez en lisant ce livre, mais âmes sensibles s'abstenir... Indice... j'ai pensé pendant ma lecture à la mère de Verlaine qui, paraît-il, conservait les foetus de ses fausses couches dans du formol pour les mettre sur sa cheminée...
