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Critique de bdelhausse
Rien à jeter dans ce recueil de nouvelles, qui s'étalent de 1926 à ... 1972... !
On a Howard au meilleur de son art. On frissonne, on tremble, on se crispe au gré des crissements et des hurlements de terreur surgissant des ombres. Avec quelques emprunts lovecraftiens, Howard réinvente et s'approprie le genre. Les clichés deviennent ses armes, les poncifs sont la certitude de son efficacité, sa marque de fabrique. Et Howard en use et abuse, pour notre plus grand plaisir. Car le lecteur vit les choses avec les héros, tout en les comprenant plus rapidement. Il est alors captif du récit et de l'écriture poétique brute de Howard. Il subit le récit et assiste à la déchéance des héros qui, eux, n'ont rien vu venir.
On a Howard au meilleur de son art. On frissonne, on tremble, on se crispe au gré des crissements et des hurlements de terreur surgissant des ombres. Avec quelques emprunts lovecraftiens, Howard réinvente et s'approprie le genre. Les clichés deviennent ses armes, les poncifs sont la certitude de son efficacité, sa marque de fabrique. Et Howard en use et abuse, pour notre plus grand plaisir. Car le lecteur vit les choses avec les héros, tout en les comprenant plus rapidement. Il est alors captif du récit et de l'écriture poétique brute de Howard. Il subit le récit et assiste à la déchéance des héros qui, eux, n'ont rien vu venir.
