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Critique de Mondaye


Un magnifique roman et message de tolérance.

Il a des livres qui vous happe dès les première lignes et vous reste sur le coeur plus tard, après avoir su vous faire rire et pleurer en silence, sans presque vous en rendre compte. Qui vous déchire, que vous détestez et adorez pour cela. Et The kite runner fait parti de ceux-ci.

Oui dès le tout début. Dès ces premières lignes qui ont éveillez chez moi un écho curieux sur lequel je n'ai mis le doigts que plus tard:" I became what I am today at the age of twelve, on a frigid overcast day in the winter of 1975."

peut-être si je l'avais lu en français j'aurais tout de suite réaliser que mon subconscient se souvenais d'une autre lecture adorée: le grand Meaulnes dont le début résonne similairement.

Mais c'est là un des rares parallèle, avec cette marque qui reste pleine de nostalgie à la fin d'une lecture.

Car The kite runner est un lecture parfois dure et violente, surtout lors de la seconde moitié, celle qui m'a fait verser le plus de larmes, même si le déchirement de la "trahison" de la souffrance que s'inflige lui-même le héros a également été brutale.

Le fait est que sauf dire combien ce livre m'a émotionnellement touchée, j'ai peur de vous voler en vous parlant plus en détail de l'intrigue.

Si la tolérance est un message important du livre, c'est également le cas de la rédemption, et les non-dits, les secrets qui vous empoisonne, l'incapacité à évoquer "le drame".

Mais, et heureusement sans doute, la dernière note du roman est celle de l'espoir. Car si le passé ne peut jamais être refait, le futur lui reste à construire.

Je m'arrêterais donc en vous recommandant vivement ce roman et en espérant qu'il vous touchera autant que moi.
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