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Critique de OrlaneBooks
Après avoir découvert et apprécié Victoria Hislop avec Une dernière danse et son style mêlant faits historiques et romance, j'ai de nouveau accroché avec L'île des oubliés.
Il s'agit une nouvelle fois d'une saga familiale qui commence avec la rencontre D Alexis, jeune femme anglaise qui à l'occasion d'un séjour en Crète remonte l'histoire familiale et part à la découverte de ses origines.
On fera ainsi la connaissance de son arrière-grand-mère Eleni qui victime de la lèpre a été envoyée sur l'île de Spinalonga, léproserie qui a accueilli des centaines de malades. On y rencontrera également Giorgis, mari d'Eleni qui toute sa vie fera de nombreux aller retours entre la Crète et l'île pour amener les malades, les ravitailler et y conduire les médecins.
Nous suivons aussi l'histoire de leurs deux filles Anna et Maria qui bien qu'élevées par les mêmes parents sont radicalement différentes. Si la première fera tout pour oublier et s'éloigner de ses origines plutôt modestes et affectées par la maladie, Maria placera toujours sa famille au coeur de ses priorités. Maria est l'un d'un personnage central de ce roman qui suscite attachement et admiration.
Au fil des pages c'est la mère D Alexis qui fera son apparition et que l'intrigue se résoudra petit à petit.
Difficile d'interrompre sa lecture lorsque l'on a commencé ! Les 520 pages du roman nous plongent au coeur d'une partie de l'histoire de la Crète que particulièrement j'ignorais.
Bon moment de lecture qui permet de s'évader et de se cultiver.
Il s'agit une nouvelle fois d'une saga familiale qui commence avec la rencontre D Alexis, jeune femme anglaise qui à l'occasion d'un séjour en Crète remonte l'histoire familiale et part à la découverte de ses origines.
On fera ainsi la connaissance de son arrière-grand-mère Eleni qui victime de la lèpre a été envoyée sur l'île de Spinalonga, léproserie qui a accueilli des centaines de malades. On y rencontrera également Giorgis, mari d'Eleni qui toute sa vie fera de nombreux aller retours entre la Crète et l'île pour amener les malades, les ravitailler et y conduire les médecins.
Nous suivons aussi l'histoire de leurs deux filles Anna et Maria qui bien qu'élevées par les mêmes parents sont radicalement différentes. Si la première fera tout pour oublier et s'éloigner de ses origines plutôt modestes et affectées par la maladie, Maria placera toujours sa famille au coeur de ses priorités. Maria est l'un d'un personnage central de ce roman qui suscite attachement et admiration.
Au fil des pages c'est la mère D Alexis qui fera son apparition et que l'intrigue se résoudra petit à petit.
Difficile d'interrompre sa lecture lorsque l'on a commencé ! Les 520 pages du roman nous plongent au coeur d'une partie de l'histoire de la Crète que particulièrement j'ignorais.
Bon moment de lecture qui permet de s'évader et de se cultiver.
