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Critique de bdelhausse
Les auteurs jouent avec le lecteur. Je dis "le", je pourrais dire "les"... à mon avis il y a sans doute plusieurs lecteurs... mais je pourrais lancer comme boutade que cela risque de ne pas durer.
Au terme du tome 2, Jeffrey, Eleonore et Chaplin s'évadaient du collège et de l'île en compagnie du faux majordome indien et de sa fille... mais c'était pour se retrouver à la cour du roi Arthur Pendragon. Lequel Arthur ressemblait fort à John Merrick, un ancien pensionnaire du collège.
On va suivre les aventures de Jeffrey et des autres dans un univers médiéval empreint de Table Ronde. Et ce ne sera qu'au terme du tome que le lecteur pourra entrevoir s'il s'agit d'un moyen-âge factice ou si Jeffrey est passé par une faille spatio-temporelle.
Autre récit en parrallèle, la mère de Jeffrey accompagnée d'un opiniâtre et intègre inspecteur de police vont partir à la recherche du père de Jeffrey.
Le livret de fin de tome (bienvenu) va aborder le mythe d'Arthur et d'Uther Pendragon, et les rapports que L Histoire entretient avec la vérité, les mythes et les légendes... Il y a beaucoup à dire et le maigre dossier ne fait qu'effleurer le sujet. Cela permet néanmoins de mieux comprendre où les auteurs veulent emmener le lecteur. La réécriture de l'Histoire est un sujet majeur depuis des dizaines d'années (voire davantage). Ici, on entrevoit les motivations de ces changements dans le récit, les modifications étant l'oeuvre d'un Conseil dans lequel les membres portent houpelande et caouche et un masque en forme d'horloge.
Le dessin est intéressant. le scénario est parfois limpide, parfois tout à fait brumeux. Ce n'est pas hyper plaisant de mon point de vue. Et cela rappelle (en ce qui me concerne) lé série Seuls. Par ailleurs, on est vraiment dans le flou par rapport à la direction que prend la série, et cela ne donne pas spécialement envie d'en savoir davantage.
Au terme du tome 2, Jeffrey, Eleonore et Chaplin s'évadaient du collège et de l'île en compagnie du faux majordome indien et de sa fille... mais c'était pour se retrouver à la cour du roi Arthur Pendragon. Lequel Arthur ressemblait fort à John Merrick, un ancien pensionnaire du collège.
On va suivre les aventures de Jeffrey et des autres dans un univers médiéval empreint de Table Ronde. Et ce ne sera qu'au terme du tome que le lecteur pourra entrevoir s'il s'agit d'un moyen-âge factice ou si Jeffrey est passé par une faille spatio-temporelle.
Autre récit en parrallèle, la mère de Jeffrey accompagnée d'un opiniâtre et intègre inspecteur de police vont partir à la recherche du père de Jeffrey.
Le livret de fin de tome (bienvenu) va aborder le mythe d'Arthur et d'Uther Pendragon, et les rapports que L Histoire entretient avec la vérité, les mythes et les légendes... Il y a beaucoup à dire et le maigre dossier ne fait qu'effleurer le sujet. Cela permet néanmoins de mieux comprendre où les auteurs veulent emmener le lecteur. La réécriture de l'Histoire est un sujet majeur depuis des dizaines d'années (voire davantage). Ici, on entrevoit les motivations de ces changements dans le récit, les modifications étant l'oeuvre d'un Conseil dans lequel les membres portent houpelande et caouche et un masque en forme d'horloge.
Le dessin est intéressant. le scénario est parfois limpide, parfois tout à fait brumeux. Ce n'est pas hyper plaisant de mon point de vue. Et cela rappelle (en ce qui me concerne) lé série Seuls. Par ailleurs, on est vraiment dans le flou par rapport à la direction que prend la série, et cela ne donne pas spécialement envie d'en savoir davantage.
