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Critique de Stoffia
Squadron Supreme est le précurseur de Watchmen, Dark Knight, et du Dark Age of comic en général.
On y trouve en germe l'un des premiers exemple d'un monde de superhéros "réaliste". Un monde où les héros sont pervers, narcissiques, psychopathes, etc. Un monde tous ne sont pas motivé par une soif insatiable de justice. En ce sens, Squadron Supreme est l'ancêtre de The Boys.
C'est la première histoire (aujourd'hui un trope usé) où les superhéros, fatigués de se contenter d'arrêter quelques criminels quand l'occasion se présente, d'évidence de prendre le pouvoir. Ils décident alors d'imposer leur utopie liberticide à la population. "Pour son bien". En ce sens, Squadron Supreme est l'ancêtre de Injustice.
Squadron Supreme, à la base, c'est un plagiat ou une parodie de la Justice League, publié chez Marvel. On y retrouve un cryptosuperman, wonderwoman, flash, batman, etc.
Cryptobatman se fait élire Président, et un supervillain aux pouvoirs télépathiques prend contrôle de lui et le force à faire envahir le reste du monde par les USA.
Quand le comic commence, après ces événements, le monde est en ruines. Les superhéros décident alors qu'il est temps qu'ils se mêlent de politique. Eux seuls ont les pouvoirs de tout reconstruire. Et tant qu'à reconstruire, pourquoi s'arrêter là?
Pourquoi pas... Éliminer la pauvreté? La pollution? le crime? Les prisons? L'armée?
Et les récalcitrants? Ont leur offre le choix entre l'enfermement ou le reconditionnement! (Pensez Orange Mécanique.)
Pour les arrêter, seul reste Cryptobatman, quelques superhéros de seconde zone, et surtout, une poignée de supervillains. (La ligne entre les deux se brouille, un peu à la Marvel Civil War.)
Bref, Squadron Supreme est le précurseur d'une partie importante des bonnes choses qui sont arrivées dans les comics des dernières décennies. Et pourtant, je comprends pourquoi il n'a pas connu la même postérité. Malgré toutes ses bonnes idées, Squadron Supreme reste un comic très "1985". de cette période qui attendait avec impatience 1986 pour découvrir son plein potentiel artistique et philosophique.
On y trouve en germe l'un des premiers exemple d'un monde de superhéros "réaliste". Un monde où les héros sont pervers, narcissiques, psychopathes, etc. Un monde tous ne sont pas motivé par une soif insatiable de justice. En ce sens, Squadron Supreme est l'ancêtre de The Boys.
C'est la première histoire (aujourd'hui un trope usé) où les superhéros, fatigués de se contenter d'arrêter quelques criminels quand l'occasion se présente, d'évidence de prendre le pouvoir. Ils décident alors d'imposer leur utopie liberticide à la population. "Pour son bien". En ce sens, Squadron Supreme est l'ancêtre de Injustice.
Squadron Supreme, à la base, c'est un plagiat ou une parodie de la Justice League, publié chez Marvel. On y retrouve un cryptosuperman, wonderwoman, flash, batman, etc.
Cryptobatman se fait élire Président, et un supervillain aux pouvoirs télépathiques prend contrôle de lui et le force à faire envahir le reste du monde par les USA.
Quand le comic commence, après ces événements, le monde est en ruines. Les superhéros décident alors qu'il est temps qu'ils se mêlent de politique. Eux seuls ont les pouvoirs de tout reconstruire. Et tant qu'à reconstruire, pourquoi s'arrêter là?
Pourquoi pas... Éliminer la pauvreté? La pollution? le crime? Les prisons? L'armée?
Et les récalcitrants? Ont leur offre le choix entre l'enfermement ou le reconditionnement! (Pensez Orange Mécanique.)
Pour les arrêter, seul reste Cryptobatman, quelques superhéros de seconde zone, et surtout, une poignée de supervillains. (La ligne entre les deux se brouille, un peu à la Marvel Civil War.)
Bref, Squadron Supreme est le précurseur d'une partie importante des bonnes choses qui sont arrivées dans les comics des dernières décennies. Et pourtant, je comprends pourquoi il n'a pas connu la même postérité. Malgré toutes ses bonnes idées, Squadron Supreme reste un comic très "1985". de cette période qui attendait avec impatience 1986 pour découvrir son plein potentiel artistique et philosophique.
