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Critique de fnitter
On commence à fond, on accélère au milieu et on finit en beauté.
Un ancien agent noir de la CIA lâché par tous, tueur sans pitié, professionnel très efficace et très moral (il ne tue quasiment que des gros méchants), une légende dans le milieu, devient la cible d'une multinationale qui lâche à ses trousses tout ce qui compte en matière d'agences gouvernementales de l'ombre et de l'assassinat programmé.
Jason Bourne est insignifiant, le Hitman serait ferait presque pâle figure. Ce roman survitaminé mené tambour battant à une cadence infernale, empile les moments d'action de combat de violence dignes d'un jeu vidéo. SuperTueur est invincible se recoud tout seul quand il est blessé, (Rambo est une petite nature avec sa petite entaille au bras) et gagne à la fin.
De toute façon il y a déjà un tome 2 et 3 et il y aura vraisemblablement des suites puisqu'il existe douze tomes en Anglais.
Coup de projecteur sur la série et traduction grâce à l'adaptation Netflix, un premier tome qui vaut le détour si on aime ce genre de littérature.
Pourquoi pas donc.
Un ancien agent noir de la CIA lâché par tous, tueur sans pitié, professionnel très efficace et très moral (il ne tue quasiment que des gros méchants), une légende dans le milieu, devient la cible d'une multinationale qui lâche à ses trousses tout ce qui compte en matière d'agences gouvernementales de l'ombre et de l'assassinat programmé.
Jason Bourne est insignifiant, le Hitman serait ferait presque pâle figure. Ce roman survitaminé mené tambour battant à une cadence infernale, empile les moments d'action de combat de violence dignes d'un jeu vidéo. SuperTueur est invincible se recoud tout seul quand il est blessé, (Rambo est une petite nature avec sa petite entaille au bras) et gagne à la fin.
De toute façon il y a déjà un tome 2 et 3 et il y aura vraisemblablement des suites puisqu'il existe douze tomes en Anglais.
Coup de projecteur sur la série et traduction grâce à l'adaptation Netflix, un premier tome qui vaut le détour si on aime ce genre de littérature.
Pourquoi pas donc.
