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Critique de Chrisland


2ème album de la série Astérix et Obélix.

Après l'album fondateur Astérix le gaulois, publié en 1959 avec un succès initial relatif (et qui a aujourd'hui, il faut l'avouer, un peu vieilli), René Goscinny et Albert Uderzo remettent la mise et cette fois, c'est bingo !

Dans Astérix et la serpe d'or, Goscinny trouve les deux "trucs" scénaristiques qui vont - entre autres trouvailles géniales - porter la série au sommet du 7ème art .

Le premier truc, c'est de comprendre que le héros de la saga, cela ne va pas être Astérix (comme l'indiquait le titre du premier album) mais le bon gros Obélix.

C'est lui qui est le principal vecteur comique des aventures, c'est vers lui que vont les sympathies du lecteur. Obélix est à Astérix ce que le capitaine Haddock est à Tintin : non pas un simple faire-valoir, comme on l'imagine de prime abord, mais un héros, à part entière !

Le second truc, tout simple, c'est de passionner le lecteur sur 44 planches avec, pour le scénario, un principe de base que l'on retrouvera dans les 3/4 des albums.

Cette recette (magique !) est toute bête : Astérix et Obélix doivent quitter le village gaulois sous un prétexte quelconque (trouver quelqu'un ou un objet, accomplir une tâche), et ils partent à l'aventure, dans un road book qui va leur permettre de traverser des contrées inconnues, rencontrer des gentils, des vilains... et faire rire le lecteur.

Lire la suite de ma critique sur le site le Tourne Page
Lien : http://www.letournepage.com/..
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