La vie devant soi, donc, est le « journal » des derniers jours de Madame Rosa, une juive rescapée des camps de la mort d'Auschwitz, ancienne prostituée aux Halles, à Paris, reconvertie dans un « clandé » qui accueille en pension des enfants de prostituées. le tout raconté par l'un de ses pensionnaires, le petit Mohamed dit « Momo », à l'âge incertain (10 ou 14 ans), avec ses mots et ses expressions prélevés dans son entourage et plus ou moins modifiés par le filtre "Momo"… Mais Madame Rosa est malade, son état de santé se détériore vite et elle ne veut pas aller à l'hôpital pour échapper à l'acharnement thérapeutique. Momo va l'aider…
Voilà un sujet en or surtout si vous ajoutez à cela une faune bigarrée et polymorphe, multicolore, multi-ethniques, multiconfessionnel
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