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Critique de Pancrace
Je n'ai jamais aimé cette expression :
« Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ».
Si je fais un commentaire sur ces nouvelles, vous allez immédiatement penser qu'elles sont mauvaises. Si je ne vous en donne pas, vous imaginerez forcement que ces nouvelles sont bonnes, alors comment puis-je écrire qu'elles sont bonnes si c'est le cas ? On a tous quelque chose en nous de Raymond Devos, ce rêve en nous avec ses mots à lui…
Dans son avant-propos, François Garde mentionne avec ses mots à lui, l'envie d'écrire pour la première fois des nouvelles se percevant tel un marathonien qui participerait à un 100m.
Lénine à Chamonix ne représente qu'une étape de sa course sur les douze nouvelles avec la montagne pour décor pour onze d'entre-elles.
J'ai eu un coup de coeur pour la douzième pleine de charme et de poésie.
« Il est dans la nature d'un arbre de former une forêt avec les siens. Et puis un soir d'avril, tout près de moi, j'ai reconnu l'odeur du feu ».
Toutes sont intelligentes, rafraichissantes, émouvantes, inclassables, toutes sont contemporaines exceptée celle qui donne son titre au recueil. Que le récit soit vraisemblable ou de science-fiction, toutes sont ciselées et polies tels de petits joyaux avec une chute vertigineuse, montagne oblige !
Petite friandise de lecture à déguster dans un chalet ou ailleurs après une belle balade.
« Pas de nouvelles, bonnes nouvelles ».
Si je fais un commentaire sur ces nouvelles, vous allez immédiatement penser qu'elles sont mauvaises. Si je ne vous en donne pas, vous imaginerez forcement que ces nouvelles sont bonnes, alors comment puis-je écrire qu'elles sont bonnes si c'est le cas ? On a tous quelque chose en nous de Raymond Devos, ce rêve en nous avec ses mots à lui…
Dans son avant-propos, François Garde mentionne avec ses mots à lui, l'envie d'écrire pour la première fois des nouvelles se percevant tel un marathonien qui participerait à un 100m.
Lénine à Chamonix ne représente qu'une étape de sa course sur les douze nouvelles avec la montagne pour décor pour onze d'entre-elles.
J'ai eu un coup de coeur pour la douzième pleine de charme et de poésie.
« Il est dans la nature d'un arbre de former une forêt avec les siens. Et puis un soir d'avril, tout près de moi, j'ai reconnu l'odeur du feu ».
Toutes sont intelligentes, rafraichissantes, émouvantes, inclassables, toutes sont contemporaines exceptée celle qui donne son titre au recueil. Que le récit soit vraisemblable ou de science-fiction, toutes sont ciselées et polies tels de petits joyaux avec une chute vertigineuse, montagne oblige !
Petite friandise de lecture à déguster dans un chalet ou ailleurs après une belle balade.
