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Critique de florencem
Quand les JO me permettent de découvrir l'équipe de volley japonaise masculine et que je me prends une passion pour ce sport (et pour l'équipe également), la lectrice en moi était incapable de passer à côté de Haikyū ! 45 tomes quand même… mais allez !
Et franchement, je pense que j'ai très bien fait parce que ce premier tome m'a énormément plu. D'accord, on part sur des bases assez classiques pour un shonen lié au sport, mais il y a déjà ce petit quelque chose de plus qui fait que j'ai très envie de poursuivre avec les garçons. Nous avons donc deux jeunes joueurs extrêmement prometteurs, rivaux et qui se retrouvent à devoir jouer dans la même équipe. Double challenge. Passer de rival à coéquipier, et transformer les diamants bruts en des joueurs d'exception. Tout un programme ! Et j'ai très envie d'aller au bout de Haikyū pour voir ce que nos deux héros vont devenir.
Alors oui, pari gagné pour Haruichi Furudate. Et ce n'est pas toujours facile en un tome. D'ailleurs une introduction que j'ai trouvé très riche à beaucoup de niveaux. Les psychologies des différents protagonistes sont déjà bien implantées, et je ne parle pas seulement de Shô et Tobio. On voit déjà une dynamique se créer et elle est très prometteuse même avec les tensions qui pointent déjà le bout de leur nez. de bons messages également, et une culture du sport d'équipe positive mais pas non plus trop naïve. Les règles du sport viennent doucement se greffer et pour les non-connaisseurs, c'est très sympathique. Certains mangas ont tendance à trop vouloir donner d'information d'un coup et c'est parfois imbuvable.
Une bonne introduction donc, un bon équilibre dans le récit, un sport super bien mis en avant. On part déjà sur des bases solides. Les personnages sont aussi rapidement attachants (à part Tsuki mais il joue aussi le rôle du « méchant » pour une bonne raison donc on lui laisse le bénéfice du doute). Franchement, pour un premier tome Haikyū place la barre assez haute avec des héros charismatiques et / ou touchants, voire les deux. Plutôt important pour un shonen sportif car on sait que l'on va rencontrer beaucoup de joueurs notamment et que si les personnages secondaires ne sortent pas tout de suite du lot, ça sera la confusion à un moment donné.
Je ne regrette donc pas, pour l'instant, cet achat un peu impulsif de Haikyū. Je suis plutôt charmée et j'ai très envie de poursuivre. Reste à savoir si l'envie perdurera jusqu'au dernier tome, mais j'ai au moins l'avantage du fait qu'ils soient déjà tous sortis, ce qui évitera l'attente trop longue, parfois décourageante quand il s'agit de séries longues. Je croise les doigts !!
Et franchement, je pense que j'ai très bien fait parce que ce premier tome m'a énormément plu. D'accord, on part sur des bases assez classiques pour un shonen lié au sport, mais il y a déjà ce petit quelque chose de plus qui fait que j'ai très envie de poursuivre avec les garçons. Nous avons donc deux jeunes joueurs extrêmement prometteurs, rivaux et qui se retrouvent à devoir jouer dans la même équipe. Double challenge. Passer de rival à coéquipier, et transformer les diamants bruts en des joueurs d'exception. Tout un programme ! Et j'ai très envie d'aller au bout de Haikyū pour voir ce que nos deux héros vont devenir.
Alors oui, pari gagné pour Haruichi Furudate. Et ce n'est pas toujours facile en un tome. D'ailleurs une introduction que j'ai trouvé très riche à beaucoup de niveaux. Les psychologies des différents protagonistes sont déjà bien implantées, et je ne parle pas seulement de Shô et Tobio. On voit déjà une dynamique se créer et elle est très prometteuse même avec les tensions qui pointent déjà le bout de leur nez. de bons messages également, et une culture du sport d'équipe positive mais pas non plus trop naïve. Les règles du sport viennent doucement se greffer et pour les non-connaisseurs, c'est très sympathique. Certains mangas ont tendance à trop vouloir donner d'information d'un coup et c'est parfois imbuvable.
Une bonne introduction donc, un bon équilibre dans le récit, un sport super bien mis en avant. On part déjà sur des bases solides. Les personnages sont aussi rapidement attachants (à part Tsuki mais il joue aussi le rôle du « méchant » pour une bonne raison donc on lui laisse le bénéfice du doute). Franchement, pour un premier tome Haikyū place la barre assez haute avec des héros charismatiques et / ou touchants, voire les deux. Plutôt important pour un shonen sportif car on sait que l'on va rencontrer beaucoup de joueurs notamment et que si les personnages secondaires ne sortent pas tout de suite du lot, ça sera la confusion à un moment donné.
Je ne regrette donc pas, pour l'instant, cet achat un peu impulsif de Haikyū. Je suis plutôt charmée et j'ai très envie de poursuivre. Reste à savoir si l'envie perdurera jusqu'au dernier tome, mais j'ai au moins l'avantage du fait qu'ils soient déjà tous sortis, ce qui évitera l'attente trop longue, parfois décourageante quand il s'agit de séries longues. Je croise les doigts !!
