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Critique de veronic68


Lorsque Mozart meurt en 1781, il est ruiné, très endetté et n'a pas la notoriété qu'il aurait aimé.
Sa femme, ou plutôt sa veuve désormais, Constanze va devoir faire face avec ses deux fils encore petits.
Pendant 50 ans, elle va se démener pour faire reconnaître l'immense artiste qu'il était. Usant, si nécessaire, de ruse ou de malhonnêteté. Elle fondera beaucoup d'espoir sur son deuxième fils pour prendre la suite de son père qu'il n'a pas eu le temps de connaître.
Au-delà de l'amour immense qu'elle portait à son mari, on ressent une véritable obsession parfois malsaine. Mais c'est cette obsession qui lui permettra d'accomplir ce qu'elle voulait.
La construction de l'histoire est de mon point de vue originale, basée sur un dialogue entre une Contsanze agée et son fils aîné Carl. Elle est seule à parler, et c'est elle qui indiquera au lecteur les réactions de Carl face à ce que sa mère lui raconte. Cette discussion se passe alors qu'une statut en pieds à l'effigie de Mozart est en cours de réalisation sous leur fenêtre.
Tout en nous racontant sa vie, Constanze donne au lecteur quelques informations sur les évènements historiques, ainsi que sur les conditions de vie des musiciens.
très bien écrit, j'ai beaucoup apprécié ce livre qui m'a emportée dans la vie de Constanze veuve Mozart.
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