Tout d'abord, je remercie le Square éditeur et Babelio pour ce livre reçu dans le cadre de l'opération Masse critique.
Je ne m'attendais pas à recevoir un livre si fin, un roman-photo. Je pensais qu'il s'agissait d'un roman pour les adolescents. Néanmoins, la surprise fut belle ! D'un point de vue esthétique, je l'ai trouvé plutôt réussi. Les photos frappantes, surtout les immeubles des premières pages (qui m'ont rappelé de nombreux souvenirs pas si lointains). L'utilisation de la même photo sur une même page est quelque chose qui me semble intéressant, qui donne du rythme au livre.
Enfin, l'histoire en elle-même m'a plu. Sans doute parce que, une fois encore, elle fait écho à mon expérience de prof dans une cité bâtie de tours qui bouchent la vue et semblent retenir ses habitants prisonniers.
Des questions existentielles auxquelles Icare cherche à répondre.
Je n'ai pas tout à fait compris la fin mais tant mieux. Je préfère que ce ne soit pas trop brutal, que l'on puisse comprendre ce que l'on veut avec se "repartir".
Bref, j'ai été agréablement surprise. Une jolie découverte.
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Comme lu dans une précédente critique, j'ai été surprise aussi de recevoir un poème mis en photo et non un roman.
J'ai bien aimé le travail photographique, le côté sombre du début qui est effacé par les photos lumineuses de la fin. On sent le mal-être dans les premières pages qui s'atténue peu à peu pour laisser apparaître un sentiment de liberté qui transparaît grâce à ces photos de ciel bleu et ces couleurs chaudes.
Merci Babelio et le square pour ce moment de lecture.
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