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Critique de ancarlafernandes
Je complète la recommandation du Président Macron : "lisez Marx" à la plage ou ailleurs !
Le voici résumé en une phrase : "les philosophes n'ont fait qu'interprèter diversement le monde. Ce qui importe désormais, c'est de le transformer".
Révolutionnaire, communiste anti-étatiste, penseur politique et génie en termes d'analyse économique, la pensée de l'auteur de Capital, "la bible immortelle de la classe ouvrière", était orientée vers l'avenir.
"Marx a critiqué avec force les bureaucraties de son temps : l'appareil d'État prussien ; ou le tsarisme russe et son autoritarisme qu'il a longtemps considéré comme une des pires constructions politiques de son époque ; la croissance "parasitaire " de l'état français sous le second empire
(...)
Puis a d'autres moments marx se montre plus nuancé sur le rôle de l'état et ses fonctions historiques"
"Marx développe la notion d'aliénation : d'après lui le capitalisme vide l'ouvrier de sa substance humaine et le transforme en simple marchandise.
Le prolétaire, et plus largement les individus sous le système capitaliste, sont aliénés, opprimés, dépossédés d'eux-mêmes.
À partir de ce constat, Marx développe toute une anthropologie critique du travail et de la civilisation industrielle.
Marx constate, après l'insurrection des ouvriers tisserands de 1844, que les ouvriers peuvent changer l'histoire du monde en contestant puis en reversant le capitalisme"
"Marx est devenu respectable bien au-delà de ses partisans, et même célèbré en Allemagne, alors qu'il avait été chassé de son pays de son vivant"
"L'émancipation des travailleurs sera l'oeuvre des travailleurs eux-mêmes.
Le capitalisme, en multipliant le nombre de prolétaires par le développement des grandes concentrations industrielles, prepare sa propre chute: tôt ou tard, les prolétaires de tous les pays se révolteront.
Le Manifeste, texte fondateur de la question sociale, leur propose une orientation politique communiste, c'est-à-dire de socialisation des grands moyens de production"
Les 3 sources du marxisme :
La France, pour la politique révolutionnaire ;
La Grande-Bretagne, pour l'économie politique ;
L'Allemagne, pour la philosophie ;
Le voici résumé en une phrase : "les philosophes n'ont fait qu'interprèter diversement le monde. Ce qui importe désormais, c'est de le transformer".
Révolutionnaire, communiste anti-étatiste, penseur politique et génie en termes d'analyse économique, la pensée de l'auteur de Capital, "la bible immortelle de la classe ouvrière", était orientée vers l'avenir.
"Marx a critiqué avec force les bureaucraties de son temps : l'appareil d'État prussien ; ou le tsarisme russe et son autoritarisme qu'il a longtemps considéré comme une des pires constructions politiques de son époque ; la croissance "parasitaire " de l'état français sous le second empire
(...)
Puis a d'autres moments marx se montre plus nuancé sur le rôle de l'état et ses fonctions historiques"
"Marx développe la notion d'aliénation : d'après lui le capitalisme vide l'ouvrier de sa substance humaine et le transforme en simple marchandise.
Le prolétaire, et plus largement les individus sous le système capitaliste, sont aliénés, opprimés, dépossédés d'eux-mêmes.
À partir de ce constat, Marx développe toute une anthropologie critique du travail et de la civilisation industrielle.
Marx constate, après l'insurrection des ouvriers tisserands de 1844, que les ouvriers peuvent changer l'histoire du monde en contestant puis en reversant le capitalisme"
"Marx est devenu respectable bien au-delà de ses partisans, et même célèbré en Allemagne, alors qu'il avait été chassé de son pays de son vivant"
"L'émancipation des travailleurs sera l'oeuvre des travailleurs eux-mêmes.
Le capitalisme, en multipliant le nombre de prolétaires par le développement des grandes concentrations industrielles, prepare sa propre chute: tôt ou tard, les prolétaires de tous les pays se révolteront.
Le Manifeste, texte fondateur de la question sociale, leur propose une orientation politique communiste, c'est-à-dire de socialisation des grands moyens de production"
Les 3 sources du marxisme :
La France, pour la politique révolutionnaire ;
La Grande-Bretagne, pour l'économie politique ;
L'Allemagne, pour la philosophie ;
