Brièvement, on peut schématiser des portraits : d'un côté des personnels pénitentiaires usant d'un petit pouvoir avec une brutalité remarquable, des humains à l'origine d'une catastrophe nucléaire ; d'un autre côté un humain qui subit tous ceux là et qui ne veut plus avoir à faire au genre humain.
Mais au cours du récit apparaît que l'enfer, ce n'est pas que les autres. Ce récit pourrait corroborer les idées développées par
Jean Birnbaum : l'ennemi n'est pas forcément celui qu'on croit, se méfier de nous même, nuancer le propos et les actes.
Au delà du scénario, j'ai découvert un deuxième ouvrage de
Sophie Divry, empreint de poésie, de rythme, de sincérité dans la langue.
Commenter  J’apprécie         30