Entrée dans le vif du sujet, phrases courtes, cassantes, rapides. Malgré une bonne documentation sur le milieu carcéral, on sent sous l'argot la bonne éducation de l'autrice (quelques mots la trahissent , par exemple: «désincarcérer », « incicatrisée », « si bellement »...)
C'est un roman post apocalyptique, une robinsonnade très contrastée entre la trivialité du petit voyou et la poésie du fermier.
Pourquoi ce titre :
Trois fois la fin du monde?
"Trois fins du monde" offre trois fois plus de questions !
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trois-fois-la-fin-du-monde/
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