Ce roman de la rentrée littéraire de septembre 2018 a fait couler tellement d'encre que j'ai longtemps hésité à le lire. La peur d'être déçue, en partie.
Je dois admettre que c'est une belle découverte.
La narratrice, âgée de 10 ans au début de l'histoire, n'a pas de prénom. Mais elle est attachante et nous entraîne dans son histoire.
Comme cela a été dit mainte fois, c'est un roman noir.
Mais j'ai envie de dire, comme je le dis du cinéma des frères Dardenne, que c'est l'histoire de la misère ordinaire, comme la vivent de (trop) nombreuses familles tant en France qu'en Belgique.
Il y a un petit côté surréaliste que je n'aime pas vraiment dans cette histoire, à moins qu'il s'agisse juste de la perception de la jeune narratrice.
Mais je dois admettre que passé les 100 premières pages, je n'ai plus pu refermer ce roman avant de l'avoir terminé.
Un très très bon premier roman pour cette jeune auteure.
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