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Critique de Atasi
Celle que les femmes de la maison surnommait "Beti", l'enfant car elle n'avait pas de nom, a décidé de se faire appeler "Chinti", fourmi, car elle a grandi derrière une paroi alors que sa mère travaillait, recevait ses clients.
Avec l'âge, elle a commencé à espionner sa mère, à travers une fente de la paroi. Elle découvre alors qu'un homme retient plus l'attention de sa mère, un swami, un prêtre de temple. Chinti qui n'est plus vraiment une enfant, veut également que le swami la voit.
Mais Chinti est naïve, en manque d'amour maternel, et elle ne voit pas, ne sait pas quel danger les hommes peuvent représenter.
"Le rire des déesses" est un roman qui donne la voix à des êtres que personne ne veut écouter : les prostitués et les hijras. C'est un roman fort, où la fraternité est légion. Mais c'est également un roman, qui montre l'homme dans toute sa laideur.
Lien : https://www.inde-en-livres.f..
Avec l'âge, elle a commencé à espionner sa mère, à travers une fente de la paroi. Elle découvre alors qu'un homme retient plus l'attention de sa mère, un swami, un prêtre de temple. Chinti qui n'est plus vraiment une enfant, veut également que le swami la voit.
Mais Chinti est naïve, en manque d'amour maternel, et elle ne voit pas, ne sait pas quel danger les hommes peuvent représenter.
"Le rire des déesses" est un roman qui donne la voix à des êtres que personne ne veut écouter : les prostitués et les hijras. C'est un roman fort, où la fraternité est légion. Mais c'est également un roman, qui montre l'homme dans toute sa laideur.
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