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Critique de SPLAF11
A un cheveu … de mourir de rire
A un cheveu, de Maëlle Desard est “un bain d'humour et de féminisme”. Cette phrase d'accroche sur la 4ème de couverture résume bien l'ambiance du livre. Décrit du point de vue d'Emma, 17 ans, il reflète bien l'ironie de l'héroïne avec un point de sensibilité quand il le faut. On se plonge dans le monde et les pensées d'Emma, on ressent ses émotions et on rit avec elle.
Venant d'emménager avec son frère et ses parents dans une nouvelle ville, la jeune fille décide de repartir à zéro après la perte de ses cheveux, deux ans plus tôt. Nouvelle école, nouvelles rencontres, qui vont bouleverser son quotidien et la pousser à se détacher de son obsession pour sa perruque. Suivant ses histoires d'amour et d'amitié, on s'attache à elle dès les premières phrases : “on m'a toujours dit que j'étais le sosie de mon père. le fait que je sois chauve (...) doit sans doute beaucoup à cet effet miroir qui perturbe autant nos proches”. Mais l'héroïne est bien plus que ça : aimable, drôle, enthousiaste, touchante, passionnée de natation et entretenant une très belle relation avec son frère jumeau, Christophe, c'est une ado pleine de qualités qui va s'épanouir tout le long du livre. On apprécie beaucoup certains personnages secondaires comme Anis (sa nouvelle amie), Jacob (un “ami” aussi), ou encore Christophe et on déteste ceux qui lui font du mal comme Victor ou Charlotte.
L'histoire d'Emma qui s'émancipe et apprend à ignorer le regard des autres sur son corps est accrochant du début à la fin de ses 300 pages. Je conseille ce livre à ceux qui aiment lire des histoires qui finissent bien et qui font rire et aimer la vie. Et pour finir, comme l'a dit Maëlle Desard à travers Emma : “Oui. La vie se présente bien… Dire que j'étais à un cheveu de passer à côté”.
Amaya
A un cheveu, de Maëlle Desard est “un bain d'humour et de féminisme”. Cette phrase d'accroche sur la 4ème de couverture résume bien l'ambiance du livre. Décrit du point de vue d'Emma, 17 ans, il reflète bien l'ironie de l'héroïne avec un point de sensibilité quand il le faut. On se plonge dans le monde et les pensées d'Emma, on ressent ses émotions et on rit avec elle.
Venant d'emménager avec son frère et ses parents dans une nouvelle ville, la jeune fille décide de repartir à zéro après la perte de ses cheveux, deux ans plus tôt. Nouvelle école, nouvelles rencontres, qui vont bouleverser son quotidien et la pousser à se détacher de son obsession pour sa perruque. Suivant ses histoires d'amour et d'amitié, on s'attache à elle dès les premières phrases : “on m'a toujours dit que j'étais le sosie de mon père. le fait que je sois chauve (...) doit sans doute beaucoup à cet effet miroir qui perturbe autant nos proches”. Mais l'héroïne est bien plus que ça : aimable, drôle, enthousiaste, touchante, passionnée de natation et entretenant une très belle relation avec son frère jumeau, Christophe, c'est une ado pleine de qualités qui va s'épanouir tout le long du livre. On apprécie beaucoup certains personnages secondaires comme Anis (sa nouvelle amie), Jacob (un “ami” aussi), ou encore Christophe et on déteste ceux qui lui font du mal comme Victor ou Charlotte.
L'histoire d'Emma qui s'émancipe et apprend à ignorer le regard des autres sur son corps est accrochant du début à la fin de ses 300 pages. Je conseille ce livre à ceux qui aiment lire des histoires qui finissent bien et qui font rire et aimer la vie. Et pour finir, comme l'a dit Maëlle Desard à travers Emma : “Oui. La vie se présente bien… Dire que j'étais à un cheveu de passer à côté”.
Amaya
