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Critique de Meygisan
Volgrir, nous l'avons déjà croisé dans le tome 20 avec quelques années de plus aux côtés de Svara du bouclier. Nicolas Jarry portrait alors un hommage poignant à toutes les mères du monde et de l'histoire humaine.
Volgrir, en personnage secondaire mais non moins important, se forgeait déjà un caractère emblématique et derrière son artefact dont la puissance mystérieuse confinait à la folie, on sentait un potentiel énorme à exploiter dans de futurs tomes. C'est aujourd'hui le cas avec son propre numéro et l'auteur nous emmène bien des années en arrière alors qu'il n'était qu'un marmouze. Une " originstory" en quelque sorte dont l'ambiance n'aura manqué de me rappeler The mist de Stephen King ou le treizième guerrier et qui prend tous les aspects de la quête initiatique.
Si dans le tome 20 le récit faisait la part belle aux adultes, ici ce sont bien les enfants qui sont au premier plan, l'auteur nous rappelant à la fois que ceux ci sont bien trop souvent oubliés ou mis de côté, et son attachement à toutes les valeurs familiales et filiales.
C'est donc bien un hommage à l'humanité dans son entièreté, dans l'amour qui unit les générations, que l'auteur n'a de cesse de nous rappeler qu'il constitue le socle du peuple Nain, dans la série, et des êtres humains, dans la réalité...
Mais cette histoire se place également sous le signe de la destinée et de la responsabilité. Comme je l'ai dit plus haut, il s'agit d'une quête initiatique, celle de ces enfants, Volgrir en particulier, placés face à un choix, leurs responsabilités, qui décidera de leur avenir et qui définira les adultes qu'ils deviendront.
Enfin pour ce qui est du contexte, on a très envie de savoir ce qui se trame derrière ces bestioles cachées dans la brume, et l'évocation de ces fameux nécromants, donc impatients de retrouver Volgrir et sa hache démoniaque. D'autant que le dernier acte fait intervenir un personnage bien connu des fans...
Volgrir, en personnage secondaire mais non moins important, se forgeait déjà un caractère emblématique et derrière son artefact dont la puissance mystérieuse confinait à la folie, on sentait un potentiel énorme à exploiter dans de futurs tomes. C'est aujourd'hui le cas avec son propre numéro et l'auteur nous emmène bien des années en arrière alors qu'il n'était qu'un marmouze. Une " originstory" en quelque sorte dont l'ambiance n'aura manqué de me rappeler The mist de Stephen King ou le treizième guerrier et qui prend tous les aspects de la quête initiatique.
Si dans le tome 20 le récit faisait la part belle aux adultes, ici ce sont bien les enfants qui sont au premier plan, l'auteur nous rappelant à la fois que ceux ci sont bien trop souvent oubliés ou mis de côté, et son attachement à toutes les valeurs familiales et filiales.
C'est donc bien un hommage à l'humanité dans son entièreté, dans l'amour qui unit les générations, que l'auteur n'a de cesse de nous rappeler qu'il constitue le socle du peuple Nain, dans la série, et des êtres humains, dans la réalité...
Mais cette histoire se place également sous le signe de la destinée et de la responsabilité. Comme je l'ai dit plus haut, il s'agit d'une quête initiatique, celle de ces enfants, Volgrir en particulier, placés face à un choix, leurs responsabilités, qui décidera de leur avenir et qui définira les adultes qu'ils deviendront.
Enfin pour ce qui est du contexte, on a très envie de savoir ce qui se trame derrière ces bestioles cachées dans la brume, et l'évocation de ces fameux nécromants, donc impatients de retrouver Volgrir et sa hache démoniaque. D'autant que le dernier acte fait intervenir un personnage bien connu des fans...
