Le premier roman du journaliste algérien. On le connait, ici, par le biais de ses chroniques dans le Quotidien d'Oran. On pourrait dans son livre,alors, reconnaitre son franc parler et son écriture en monologue. Kamal Daoud ne mâche pas ses mots, Haroun aussi. On pourrait également voir en Haroun un Algérien d'hier et d'aujourd'hui, un Haroun qui se morfond dans ses réminiscences.
Ce qui m'a plu: son écriture fluide et franche.
Ce qui m'a déçu: une intrigue étirée sur de longues pages telle une chronique du journaliste. D'ailleurs, l'idée mème de ce roman trouve son origine dans l'une d'elle. On aura l'impression que Haroun se répète,un peu trop à mon goût.
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