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Critique de carolitne
C'est un rideau de branchages qui s'ouvre pour le lecteur sur une histoire mystérieuse et envoûtante ; pour Aimée sur un domaine sombre et magnétique.
Un enchevêtrement de branches obscurcissant un terrible paysage de couleurs sombres retenant les âmes. Qui, par « un chant de grâces et de saisons froides » souffle la complainte lugubre des disparus, le doux chuchotement des défunts et des fantômes, emportant au loin toute humanité. le sortilège des morts pour les vivants.
La forêt enferme le domaine et ses secrets, isolant Aimée du monde des vivants, prisonnière d'un labyrinthe de ramures pesant sur elle de tout le poids de drames lointains. Qui répandent sur elle leur ombre menaçante, l'envahissant de cauchemars et d'une nuit infinie. Jusqu'à faire corps avec elle, dans une communion salvatrice avec la nature, faisant d'elle la reine d'un empire des ombres, d'une prison de feuilles et d'orage. La forêt comme une alliée la protégeant d'un château maléfique qu'elle aurait enfanté ; domaine des âmes soumises et des vies sacrifiées aux forces du mal. Pour répandre hors de ses murs, dans le bruissement des branches, le souffle d'une vie entourée de mort.
Auquel répondra une âme alliée dans une mélodie portée par l'espoir et l'humanité, d'une pureté chassant les Enfers. Ouvrant grand le domaine sur le monde des vivants.
Que les silences vont soudain recouvrir, comme le rideau de branches se fermera soudain sur la scène de ce théâtre des ombres.
Elle est « seule en sa demeure », dans une forêt du Jura au XIXe siècle, à la dimension intemporelle. Accompagnée de personnages mystérieux au lourd passé, écrasée par une ambiance pesante et mystérieuse, portée par la langue envoûtante de Cécile Coulon. Recouverte de l'ombre bienveillante de Rebecca, l'héroïne de Daphné du Maurier, qui va doucement s'éloigner pour ouvrir sur un récit de la sororité perdant peu à peu sa dimension fascinante et ensorcelante à mesure que l'intrigue se dénoue. Jusqu'au surprenant point final.
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Un enchevêtrement de branches obscurcissant un terrible paysage de couleurs sombres retenant les âmes. Qui, par « un chant de grâces et de saisons froides » souffle la complainte lugubre des disparus, le doux chuchotement des défunts et des fantômes, emportant au loin toute humanité. le sortilège des morts pour les vivants.
La forêt enferme le domaine et ses secrets, isolant Aimée du monde des vivants, prisonnière d'un labyrinthe de ramures pesant sur elle de tout le poids de drames lointains. Qui répandent sur elle leur ombre menaçante, l'envahissant de cauchemars et d'une nuit infinie. Jusqu'à faire corps avec elle, dans une communion salvatrice avec la nature, faisant d'elle la reine d'un empire des ombres, d'une prison de feuilles et d'orage. La forêt comme une alliée la protégeant d'un château maléfique qu'elle aurait enfanté ; domaine des âmes soumises et des vies sacrifiées aux forces du mal. Pour répandre hors de ses murs, dans le bruissement des branches, le souffle d'une vie entourée de mort.
Auquel répondra une âme alliée dans une mélodie portée par l'espoir et l'humanité, d'une pureté chassant les Enfers. Ouvrant grand le domaine sur le monde des vivants.
Que les silences vont soudain recouvrir, comme le rideau de branches se fermera soudain sur la scène de ce théâtre des ombres.
Elle est « seule en sa demeure », dans une forêt du Jura au XIXe siècle, à la dimension intemporelle. Accompagnée de personnages mystérieux au lourd passé, écrasée par une ambiance pesante et mystérieuse, portée par la langue envoûtante de Cécile Coulon. Recouverte de l'ombre bienveillante de Rebecca, l'héroïne de Daphné du Maurier, qui va doucement s'éloigner pour ouvrir sur un récit de la sororité perdant peu à peu sa dimension fascinante et ensorcelante à mesure que l'intrigue se dénoue. Jusqu'au surprenant point final.
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