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Critique de Caro29
La « glace noire » est un drôle de cocktail. C'est un mélange détonnant de cocaïne, d'héroïne et de PCP (ou « angel dust », ou encore « drogue du zombie »). Mais pourquoi un tel mélange ? Parce que ce n'est pas comme si chacune de ces drogues ne se suffisait pas… Eh non, il a fallu qu'un type soit assez malade pour avoir l'idée de les mélanger, « en secouant bien », nous dit-on, dans le but (peut-être) de transformer les consommateurs en « hordes de zombies » et de se faire un maximum de pognon. Voilà le point de départ de ce roman qui va nous mener de Los Angeles à Mexicali, en passant bien sûr par Calexico. Ça et un mot bien mystérieux retrouvé sur un policier qui s'est suicidé : « J'ai découvert qui j'étais ».
Deuxième roman de Michael Connelly que je lis après le Poète et première rencontre avec l'inspecteur Harry Bosch, La Glace noire a été une lecture intéressante, pas tant pour son intrigue que pour son personnage principal. Plus on avance dans le roman et plus l'histoire devient prenante mais j'ai trouvé que c'était parfois un peu long et tiré par les cheveux. Malgré des chapitres assez courts, j'ai eu du mal à avancer et j'ai pris un temps fou à lire ce livre. Ce n'est pas que je ne m'y intéressais pas, à aucun moment je n'ai eu envie d'abandonner ma lecture, mais j'ai vraiment trouvé que c'était long. Il y a bien quelques rebondissements mais ça n'a pas été suffisant. J'ai passé une bonne partie de mes vacances sur ce livre et souvent, quand on me voyait avec un (ce) livre à la main, on me demandait : « qu'est-ce que tu lis ? », puis voyant le titre : « encore ?! » Eh oui… Heureusement, Harry Bosch vaut le détour. C'est un personnage très pugnace, déterminé, qui ne lâche rien et qui donne envie de le suivre dans son enquête en solitaire. Alors je l'ai suivi. Et j'ai fini par apprécier ce roman, par m'intéresser à l'enquête et à l'assemblage du puzzle. Quelques éléments du récit m'ont paru superflus et j'ai parfois eu l'impression qu'ils ne servaient qu'à « meubler » mais dans l'ensemble, La Glace noire est un roman policier bien écrit et assez captivant.
Est-ce que ça m'a donné envie de lire un autre roman de Michael Connelly ? Peut-être. Avec La Glace noire, je n'ai pas « découvert qui j'étais » mais j'ai découvert Harry Bosch et ça m'a bien plu.
Deuxième roman de Michael Connelly que je lis après le Poète et première rencontre avec l'inspecteur Harry Bosch, La Glace noire a été une lecture intéressante, pas tant pour son intrigue que pour son personnage principal. Plus on avance dans le roman et plus l'histoire devient prenante mais j'ai trouvé que c'était parfois un peu long et tiré par les cheveux. Malgré des chapitres assez courts, j'ai eu du mal à avancer et j'ai pris un temps fou à lire ce livre. Ce n'est pas que je ne m'y intéressais pas, à aucun moment je n'ai eu envie d'abandonner ma lecture, mais j'ai vraiment trouvé que c'était long. Il y a bien quelques rebondissements mais ça n'a pas été suffisant. J'ai passé une bonne partie de mes vacances sur ce livre et souvent, quand on me voyait avec un (ce) livre à la main, on me demandait : « qu'est-ce que tu lis ? », puis voyant le titre : « encore ?! » Eh oui… Heureusement, Harry Bosch vaut le détour. C'est un personnage très pugnace, déterminé, qui ne lâche rien et qui donne envie de le suivre dans son enquête en solitaire. Alors je l'ai suivi. Et j'ai fini par apprécier ce roman, par m'intéresser à l'enquête et à l'assemblage du puzzle. Quelques éléments du récit m'ont paru superflus et j'ai parfois eu l'impression qu'ils ne servaient qu'à « meubler » mais dans l'ensemble, La Glace noire est un roman policier bien écrit et assez captivant.
Est-ce que ça m'a donné envie de lire un autre roman de Michael Connelly ? Peut-être. Avec La Glace noire, je n'ai pas « découvert qui j'étais » mais j'ai découvert Harry Bosch et ça m'a bien plu.
