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Critique de Symphonie
Je n'avais rien lu de Yvonne Clos , je ne connaissais d'ailleurs pas l'existence de cette auteure que je découvre à travers ce petit roman " Dis, mamie, tu l'écris notre histoire d'amour "
Ce récit est une ode à la vie , mais aussi et surtout à l'amour entre une mamie et sa petite fille répondant au doux nom de Cannelle, vivant à Tahiti avec ses parents.
Afin de poursuivre au mieux sa scolarité, Cannelle va quitter son île paradisiaque pour la France et vivre deux années dans la capitale chez ses grands parents qu'elle ne connaît pas.
Pleine de malice, l'espièglerie et le franc-parler de Cannelle font le bonheur de sa mamie, une mamie qui très vite, succombe au charme de ce diablotin aux boucles blondes.
Son attachement pour Cannelle est tel qu'elle en oublie une séparation inévitable ou plus exactement ne veut pas s'en souvenir. Après deux années de bonheur intense en compagnie de sa petite fille, le jour fatidique pointe le bout de son nez au grand dam de cette mamie affectée d'un immense désarroi du vide occasionné par le départ de Cannelle.
J'ai terminé ce récit avec l'envie de prendre dans mes bras cette mamie éprouvée par la séparation de sa petite fille, envie de la consoler de l'absence, du vide que ressentent toutes les mamies lorsque les éclats de rire de leurs loupiots s'éteignent, lorsque leur manque la douceur d'un câlin sur les joues rosies de fraîcheur, lorsque la vie se retire à pas comptés pour celle qui écrira cette ode admirable à la mémoire de la petite Cannelle, histoire de prolonger le plus longtemps possible, ce qui fût le temps du bonheur : " Dis mamie, tu l'écris notre histoire d'amour "
Un récit dans lequel les situations anecdotiques s'enchaînent, déconcertantes parfois, empreint de fraîcheur et de réflexions propices à la méditation entre deux générations...
Ce récit est une ode à la vie , mais aussi et surtout à l'amour entre une mamie et sa petite fille répondant au doux nom de Cannelle, vivant à Tahiti avec ses parents.
Afin de poursuivre au mieux sa scolarité, Cannelle va quitter son île paradisiaque pour la France et vivre deux années dans la capitale chez ses grands parents qu'elle ne connaît pas.
Pleine de malice, l'espièglerie et le franc-parler de Cannelle font le bonheur de sa mamie, une mamie qui très vite, succombe au charme de ce diablotin aux boucles blondes.
Son attachement pour Cannelle est tel qu'elle en oublie une séparation inévitable ou plus exactement ne veut pas s'en souvenir. Après deux années de bonheur intense en compagnie de sa petite fille, le jour fatidique pointe le bout de son nez au grand dam de cette mamie affectée d'un immense désarroi du vide occasionné par le départ de Cannelle.
J'ai terminé ce récit avec l'envie de prendre dans mes bras cette mamie éprouvée par la séparation de sa petite fille, envie de la consoler de l'absence, du vide que ressentent toutes les mamies lorsque les éclats de rire de leurs loupiots s'éteignent, lorsque leur manque la douceur d'un câlin sur les joues rosies de fraîcheur, lorsque la vie se retire à pas comptés pour celle qui écrira cette ode admirable à la mémoire de la petite Cannelle, histoire de prolonger le plus longtemps possible, ce qui fût le temps du bonheur : " Dis mamie, tu l'écris notre histoire d'amour "
Un récit dans lequel les situations anecdotiques s'enchaînent, déconcertantes parfois, empreint de fraîcheur et de réflexions propices à la méditation entre deux générations...
