Dans ce deuxième tome de la série Agence Hardy, l'intrigue autour des recherches scientifiques d'Antoine Dubreuil se poursuit, Edith Hardy étant sollicitée par les services secrets américains pour infiltrer un repaire du Kominform.
On a par contre un peu de mal à voir le lien avec les autres histoires (les recherches généalogiques de son assistant et ses recherches pour le compte de la soeur d'un peintre russe) même si elles donnent du piment au scénario.
Les dessins sont toujours de grande qualité, restituant à merveille l'ambiance des années 50.
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