L'intrigue de ce deuxième tome s'étire sur quarante ans : tout est traité très vite et comme en plus les personnages ne sont pas très nuancés, le récit m'a paru assez caricatural. La "gentille" du précédent tome devient ici la "méchante" et on a l'impression de lire presque la même histoire que dans le premier tome.
La question de l'esclavage ou de la place des Noirs dans la société semble devenir presque secondaire par rapport aux déboires de la famille des planteurs. Car les deux auteurs persistent dans leur vision ultra pessimiste des Etats-Unis esclavagistes.
Les dessins restent sombres avec des couleurs tranchées et personnages aux traits durs qu'on a parfois du mal à reconnaître.
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