Cora Baxter vit en banlieue avec son mari et son chat.
Vie à l'opposé de son passé.
Mais la voilà qui se prend de désamour pour William Monnet, son mari.
Elle fait part de ses réflexions à son chat adoré.
J'ai souvenir d'avoir lu
Muriel Cerf il y a longtemps et même si je ne m'en souviens plus très bien, me reste un sentiment d'intérêt.
Ce roman semble être en partie autobiographique, je ne sais pas dans quelle mesure, dans la profession d'écrivain c'est sûr.
Il est écrit en longues phrases alambiquées qu'il faut parfois lire plusieurs fois pour les comprendre.
Il se dégage de ce texte une impression de partage affectif, d'intellectualisation des sentiments, de sensibilité, de finesse, d'intelligence.
Muriel Cerf a de grandes exigences d'écriture et réussit parfaitement à les mettre en oeuvre.
Commenter  J’apprécie         300