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Critique de Totophe17
cet album des aventures des tuniques bleues est un hommage au dessinateur Salvérius, créateur de la série avec le scénariste Raoul Cauvin. Les tuniques bleues sont apparues dans Spirou en 1971 sous forme de petites histoires. Nous en retrouvons certaines dans cet album.
Salvérius a posé les traits graphiques des personnages principaux le Sergent Chesterfield et le caporal Blutch. Il a posé aussi leurs principaux traits de caractère et surtout les relations conflictuelles les opposant. Il s'attache aussi au décor de l'Ouest Américain et donne de belles versions des canyons et de la végétation de la région.
Dans les premières histoires, le graphisme final des deux héros n'est pas posé définitivement (cela rappelle Astérix et son évolution graphique). les scénarii sont simples, basés sur l'énorme confiance en lui que peut avoir le sergent et sur les situations catastrophiques qu'il génère. Tout est basé sur les quiproquos et la crédulité de certains personnages. Les gags sont assez drôles, sont plutôt bon enfant.
Chesterfield et Blutch sont des losers mais plutôt des lucky loosers car ils ne s'en tirent pas toujours mal.
Il est intéressant de redécouvrir les personnages tels qu'ils étaient au début sious les crayons et les pinceaux de Salvérius.
Salvérius a posé les traits graphiques des personnages principaux le Sergent Chesterfield et le caporal Blutch. Il a posé aussi leurs principaux traits de caractère et surtout les relations conflictuelles les opposant. Il s'attache aussi au décor de l'Ouest Américain et donne de belles versions des canyons et de la végétation de la région.
Dans les premières histoires, le graphisme final des deux héros n'est pas posé définitivement (cela rappelle Astérix et son évolution graphique). les scénarii sont simples, basés sur l'énorme confiance en lui que peut avoir le sergent et sur les situations catastrophiques qu'il génère. Tout est basé sur les quiproquos et la crédulité de certains personnages. Les gags sont assez drôles, sont plutôt bon enfant.
Chesterfield et Blutch sont des losers mais plutôt des lucky loosers car ils ne s'en tirent pas toujours mal.
Il est intéressant de redécouvrir les personnages tels qu'ils étaient au début sious les crayons et les pinceaux de Salvérius.
