Avant propos : je ne suis pas du tout objective sur les romans de Dan Brown car j'adore tout simplement.
Le virus m'a pris avec le
Da Vinci Code que j'ai lu d'une traite et en anglais.
Depuis je lis d'abord le roman en anglais puis en français (afin d'être sûre de n'être passée à coté d'aucune subtilité).
Ce que j'aime chez cet auteur, ce n'est pas forcément la fin du de l'histoire mais le chemin qui mène au dénouement.
Jamais je ne m'ennuie, bien au contraire, je voyage avec lui.
En outre, il éveille ma curiosité à chaque fois, m'invitant à prolonger ma lecture avec des recherches qu'elles soient "touristiques" ou symbolique.
Ici, avec
Inferno, non seulement
Dan Brown m'a donné envie de visiter Florence mais il m'a rappelé mon séjour à Istanbul.
Je suis retournée "zieuter" mes clichés (argentiques) de ce long weekend turc.
J'ai donc voyagé encore une fois... et prépare déjà mon prochain séjour italien (Florence vous ai je dit ? Venise aussi!).
Ici moins de symboles décryptés, enfin si on omet le décryptage (partiel certes) de l'oeuvre de
Dante, l'Enfer ( partie I de la
La Divine Comédie).
Ici une histoire haletante sur fonds de drame "écologique" (ou non).
J'ai adoré courir comme notre héros, le Professeur Langdon, pour trouver le remède.
J'ai détesté
Dan Brown, pour m'avoir piégée (soyons sérieux, j'ai été bernée et ça m'a agacée même si je dois reconnaître que j'ai trouvé ça bien fait).
En revanche, j'ai deviné le Fléau.
En tout cas superbe moment, à travailler mon anglais, tout en m'amusant avec ce roman de Monsieur Brown.