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Critique de Limelox
Inferno était dans la bibliothèque d'un Airbnb loué le temps d'un week-end, j'ai saisi l'occasion pour lire de nouvelles aventures du Professeur Langdon que j'avais laissé au Da Vinci Code il y a une quinzaine d'années.
Dan Brown fait un peu toujours la même chose dans ses romans, mais il le fait plutôt bien : une intrigue qui navigue entre l'aventure, le policier, le tout parsemé d'anecdotes historiques et de pastilles histoire de l'art. Je me suis laissée entraînée à Florence puis Venise et enfin Istanbul avec un certain plaisir, et sans éprouver d'ennui. Il y a des rebonds surprenants, de l'action en veux-tu en voilà, et mine de rien on en apprend pas mal sur Dante et sur ceux qu'il a inspiré.
La problématique sous-jacente (la surpopulation) est creusée de manière intéressante et honnêtement, on referme le livre avec des questions pour le coup - vraiment existentielles.
La faiblesse de ce livre réside plutôt selon moi dans ses personnages, notamment celui de Sienna avec lequel je n'ai pas réussi à "accrocher".
Dan Brown fait un peu toujours la même chose dans ses romans, mais il le fait plutôt bien : une intrigue qui navigue entre l'aventure, le policier, le tout parsemé d'anecdotes historiques et de pastilles histoire de l'art. Je me suis laissée entraînée à Florence puis Venise et enfin Istanbul avec un certain plaisir, et sans éprouver d'ennui. Il y a des rebonds surprenants, de l'action en veux-tu en voilà, et mine de rien on en apprend pas mal sur Dante et sur ceux qu'il a inspiré.
La problématique sous-jacente (la surpopulation) est creusée de manière intéressante et honnêtement, on referme le livre avec des questions pour le coup - vraiment existentielles.
La faiblesse de ce livre réside plutôt selon moi dans ses personnages, notamment celui de Sienna avec lequel je n'ai pas réussi à "accrocher".
