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Critique de Bubu-le-bourguignon
Ceci est un ouvrage traçant la montée du Nazisme à travers Hitler. Cette étude de André Brissaud est stupéfiante. J'ai énormément appris sur la naissance du Nazisme.
La haine de Hitler envers les juifs n'est pas dû à la défaite de la guerre ou à tout autre pensée qui l'aurait perturbé au cours de sa vie.
Entre 12 et 14 ans, Hitler avait déjà les bases de ses "passions futures" (note de l'auteur) : les arts (le dessin et la musique), l'histoire allemande (alors qu'il vivait en Autriche), le nationaliste allemand, l'antisémitisme et l'oeuvre de Richard Wagner. Il va grandir avec ses éléments accroître ses connaissances par les livres... et contrairement à ce que l'on pense, la mort de son père (ainsi que d'une tante plus tard) lui laisse un fameux pécule qui lui évite de vivre dans la misère. Détestant l'Autriche-Hongrie et la ville de Vienne (il dit qu'il y avait trop de race, de peuple étrangers), il y part en 1911... pour arriver à Munich en 1913.
Pendant deux ans, aucun documents ne permettent de dire ce qu'il est devenu. Comment le sait on ? La police autrichienne le recherchait pour "situation militaire irrégulière". Cette situation fut difficile pour lui, lors de la déclaration de la guerre en Aout 1914. Il voulait absolument combattre pour l'Empereur Guillaume II.
On pourrait décrire pendant de longues heures sur le chapitre Hitlérien. L'étude de Brissaud permet de comprendre beaucoup de choses. Souvent non évoqués en cours scolaire ou dans les livres traitant surtout de la guerre. Et c'est pourtant la base.
Si Hitler n'avait pas cette haine encrustée en lui, rien ne serait arrivée.... pas de guerre mondiale, pas d'extermination, pas de racisme à outrance. Sans oublier qu'il a été soutenu et "éduqué" par un homme Dietrich Eckart (dirigeant de la Société Thulé), son maître à penser, son modeleur.
Quand on pense qu'Hitler détestait les Francs maçons et les Sociétés secrètes, il est tout de même assez amusant de constater qu'il a été manipulé par l'une d'entre elles et que lui même a fondé des Ordres à caractères sacramentelles.
Bref, André Brissaud nous dresse un portrait sans détour, bien étudié (le livre date de 1969) et il a pu rencontrer les rares témoins qui ont connu Hitler entre 1919 et 1945.
La haine de Hitler envers les juifs n'est pas dû à la défaite de la guerre ou à tout autre pensée qui l'aurait perturbé au cours de sa vie.
Entre 12 et 14 ans, Hitler avait déjà les bases de ses "passions futures" (note de l'auteur) : les arts (le dessin et la musique), l'histoire allemande (alors qu'il vivait en Autriche), le nationaliste allemand, l'antisémitisme et l'oeuvre de Richard Wagner. Il va grandir avec ses éléments accroître ses connaissances par les livres... et contrairement à ce que l'on pense, la mort de son père (ainsi que d'une tante plus tard) lui laisse un fameux pécule qui lui évite de vivre dans la misère. Détestant l'Autriche-Hongrie et la ville de Vienne (il dit qu'il y avait trop de race, de peuple étrangers), il y part en 1911... pour arriver à Munich en 1913.
Pendant deux ans, aucun documents ne permettent de dire ce qu'il est devenu. Comment le sait on ? La police autrichienne le recherchait pour "situation militaire irrégulière". Cette situation fut difficile pour lui, lors de la déclaration de la guerre en Aout 1914. Il voulait absolument combattre pour l'Empereur Guillaume II.
On pourrait décrire pendant de longues heures sur le chapitre Hitlérien. L'étude de Brissaud permet de comprendre beaucoup de choses. Souvent non évoqués en cours scolaire ou dans les livres traitant surtout de la guerre. Et c'est pourtant la base.
Si Hitler n'avait pas cette haine encrustée en lui, rien ne serait arrivée.... pas de guerre mondiale, pas d'extermination, pas de racisme à outrance. Sans oublier qu'il a été soutenu et "éduqué" par un homme Dietrich Eckart (dirigeant de la Société Thulé), son maître à penser, son modeleur.
Quand on pense qu'Hitler détestait les Francs maçons et les Sociétés secrètes, il est tout de même assez amusant de constater qu'il a été manipulé par l'une d'entre elles et que lui même a fondé des Ordres à caractères sacramentelles.
Bref, André Brissaud nous dresse un portrait sans détour, bien étudié (le livre date de 1969) et il a pu rencontrer les rares témoins qui ont connu Hitler entre 1919 et 1945.
