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Critique de Aurelie3594
Chronique d'une relecture
J'ai lu le premier tome de Save me Pythie pour la première fois à sa sortie en 2014. J'en avais gardé le souvenir d'un volume enlevé, parodique et amusant.
Mais je n'étais pas allée au bout de la série, interrompant ma lecture au bout du deuxième tome, sans qu'il n'y ait de raison particulière à cela.
Depuis quelques semaines, Babelio affiche dans les nouveautés à paraître de mes auteurs, le titre Myrtis, nouveau manga publié chez Kana de Elsa Brants.
J'ai donc noté le nouveau titre dans ma liste de lecture et j'ai eu envie de relire le premier manga de Elsa Brants. Save my Pythie donc.
N'arrivant pas à remettre la main sur mon exemplaire, j'ai emprunté les cinq tomes à la bibliothèque municipale et en avant Guigamp.
De quoi que ça cause?
Dans la Grèce antique, Pythie a le malheur de taper dans l'oeil d'Apollon au propre comme au figuré. Au figuré que le dieu volage a jeté son dévolu sur elle. Et au propre car celui ci n'entendant pas que non veut dire non, a eu un comportement déplacé vite corrigé par Pythie.
Mais le dieu est mauvais joueur et maudit Pythie en l'affublant d'un redoutable pouvoir: celui de ne prédire que des catastrophes que personne ne croit.
Une de ses première vision lui montre un jeune homme cheminant dans la montagne et victime d'un éboulement. C'est en courant à son secours qu'elle fait la connaissance de Xanthe, apprenti héros à l'ascendance méconnue (de lui, parce que nous et Pythien on va vite savoir) et à la malchance tenace.
En compagnie de ces deux mortels et d'un poulet bavard, nous parcourons une Grèce antique où l'on ne s'ennuie pas. Entre des dieux libidineux, des animaux de compagnie chimériques, des héros immatures, des reines séductrices et de dangereux sphinx, le temps passe vite.
Le trait est souple et dynamique. le rythme enlevé et le ton résolument drôle et déjanté.
Je me suis amusée à la lecture de ce tome qui est pour moi une jolie réussite humoristique.
J'ai lu le premier tome de Save me Pythie pour la première fois à sa sortie en 2014. J'en avais gardé le souvenir d'un volume enlevé, parodique et amusant.
Mais je n'étais pas allée au bout de la série, interrompant ma lecture au bout du deuxième tome, sans qu'il n'y ait de raison particulière à cela.
Depuis quelques semaines, Babelio affiche dans les nouveautés à paraître de mes auteurs, le titre Myrtis, nouveau manga publié chez Kana de Elsa Brants.
J'ai donc noté le nouveau titre dans ma liste de lecture et j'ai eu envie de relire le premier manga de Elsa Brants. Save my Pythie donc.
N'arrivant pas à remettre la main sur mon exemplaire, j'ai emprunté les cinq tomes à la bibliothèque municipale et en avant Guigamp.
De quoi que ça cause?
Dans la Grèce antique, Pythie a le malheur de taper dans l'oeil d'Apollon au propre comme au figuré. Au figuré que le dieu volage a jeté son dévolu sur elle. Et au propre car celui ci n'entendant pas que non veut dire non, a eu un comportement déplacé vite corrigé par Pythie.
Mais le dieu est mauvais joueur et maudit Pythie en l'affublant d'un redoutable pouvoir: celui de ne prédire que des catastrophes que personne ne croit.
Une de ses première vision lui montre un jeune homme cheminant dans la montagne et victime d'un éboulement. C'est en courant à son secours qu'elle fait la connaissance de Xanthe, apprenti héros à l'ascendance méconnue (de lui, parce que nous et Pythien on va vite savoir) et à la malchance tenace.
En compagnie de ces deux mortels et d'un poulet bavard, nous parcourons une Grèce antique où l'on ne s'ennuie pas. Entre des dieux libidineux, des animaux de compagnie chimériques, des héros immatures, des reines séductrices et de dangereux sphinx, le temps passe vite.
Le trait est souple et dynamique. le rythme enlevé et le ton résolument drôle et déjanté.
Je me suis amusée à la lecture de ce tome qui est pour moi une jolie réussite humoristique.
