Un fugitif vénézuélien se retrouvant sur une île inhospitalière, observe en tapinois des individus sur une colline où se trouve des bâtiments. Pourtant quand il se trouve en présence de ces gens qu'il qualifie d'intrus ceux-ci semblent le traverser du regard, alors que chaque semaine les événements se renouvellent avec une inquiétante régularité.
Ce cour roman prend la forme d'un testament qu'écrit le narrateur. Ce récit de
Bioy Casares à été préfacé par son compatriote
Jorge Luis Borges, ce qui vous pose une oeuvre. Je ne suis pas vraiment rentré dans le récit, le fantastique n'étant pas mon genre de prédilection, cela reste un classique de la littérature du genre au XXème siècle.
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