Le temps d'une nuit, de quelques respirations sur Ellis Island, l'auteure raconte, s'inspirant des tragédies antiques, le jeune photographe Andrew fasciné par ces émigrés qui débarquent et par le sourire énigmatique de l'artiste peintre Emilia, qui elle n'a d'yeux que pour le bohémien Gabor avec son violon, au grand dam de la sauvage Marucca alors que la mère d'Andrew ne rève que de le marier à la belle Lucile...
Ca sent bon l'amour, et plus fort que l'amour, la liberté!
Je me suis laissé difficilement bercer, hypnotiser par la magnifique prose de Benameur. Endormir à la limite.
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