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Critique de iris29
Du premier tome, j'avais retenu qu'il pouvait, dans l'avenir, y avoir amélioration... Et je dois dire que j'ai bien aimé celui-ci, je ne m'y suis pas ennuyée une seule seconde.
Comme dans le premier, le rythme est virevoltant (et joyeux , même dans l'adversité, même quand ' " ça craint" pour le personnage principal, Priscilla Tempest, d'origine cannadienne, attachée de presse au pestigieux hôtel Savoy, dans les années 60 ).
Et pourtant toutes les résevres que j'avais sur le premier, quand j'y réfléchis, sont encore là, mais j'ai été emportée.
Il faut dire qu'il y a de l'action dans ce deuxième tome, Priscilla passe une nuit dans la chambre d'un homme politique canadien, une danseuse de cabaret de l'hôtel , a été assassinée, un rajah suivie de ses épouses vient d'arriver et passe son temps à acheter de superbes bijoux, un vieux monsieur s'attire la sympathie de notre héroine, qui va se mettre volontairement dans les pattes (pas très propres) de deux frères gangsters, avant d'être utilsée, pressée comme un citron par un inspecteur de Scotland Yard, tout en étant un peu surveillée par son "ami" journaliste du premier tome et aidée par une fameuse équipe constituée de l'auteur Noël Coward, et des acteurs John Gielgud et le grand Laurence Olivier... Car dans cette série des personnages réels, anciens clients du Savoy , viennent nous faire de petits "coucous" !
Tout ces personnages s'agitent comme des bulles de champagne d'un verre un peu trop secoué, et on ne voit pas les pages défiler. Quand c'est fini, on se dit qu'on n'en sait toujours pas plus sur Priscilla (pourquoi elle est en Angleterre, famille etc..), on sait juste qu'elle sait "prendre du bon temps" quand l'occasion se présente, (et l'occasion se présente souvent ! ) Tout ce qu'elle veut, c'est ne pas perdre son (super ?) boulot.
On sent que les auteurs s'éclatent à faire revivre cette époque et on aimerait juste qu'elle soit plus détaillée, mais on est dans un cosy mystery, alors ça reste assez superficiel et léger, je le regrette.
A noter que la co-autrice Prudence Emery a réellement été attachée de presse au Savoy...
Virevoltant, joyeux , entrainant, et sympathique.
Comme dans le premier, le rythme est virevoltant (et joyeux , même dans l'adversité, même quand ' " ça craint" pour le personnage principal, Priscilla Tempest, d'origine cannadienne, attachée de presse au pestigieux hôtel Savoy, dans les années 60 ).
Et pourtant toutes les résevres que j'avais sur le premier, quand j'y réfléchis, sont encore là, mais j'ai été emportée.
Il faut dire qu'il y a de l'action dans ce deuxième tome, Priscilla passe une nuit dans la chambre d'un homme politique canadien, une danseuse de cabaret de l'hôtel , a été assassinée, un rajah suivie de ses épouses vient d'arriver et passe son temps à acheter de superbes bijoux, un vieux monsieur s'attire la sympathie de notre héroine, qui va se mettre volontairement dans les pattes (pas très propres) de deux frères gangsters, avant d'être utilsée, pressée comme un citron par un inspecteur de Scotland Yard, tout en étant un peu surveillée par son "ami" journaliste du premier tome et aidée par une fameuse équipe constituée de l'auteur Noël Coward, et des acteurs John Gielgud et le grand Laurence Olivier... Car dans cette série des personnages réels, anciens clients du Savoy , viennent nous faire de petits "coucous" !
Tout ces personnages s'agitent comme des bulles de champagne d'un verre un peu trop secoué, et on ne voit pas les pages défiler. Quand c'est fini, on se dit qu'on n'en sait toujours pas plus sur Priscilla (pourquoi elle est en Angleterre, famille etc..), on sait juste qu'elle sait "prendre du bon temps" quand l'occasion se présente, (et l'occasion se présente souvent ! ) Tout ce qu'elle veut, c'est ne pas perdre son (super ?) boulot.
On sent que les auteurs s'éclatent à faire revivre cette époque et on aimerait juste qu'elle soit plus détaillée, mais on est dans un cosy mystery, alors ça reste assez superficiel et léger, je le regrette.
A noter que la co-autrice Prudence Emery a réellement été attachée de presse au Savoy...
Virevoltant, joyeux , entrainant, et sympathique.
