Olivier est marqué par un père qui, parti au bout du monde, ne s'occupe pas de lui et une mère dont la vie est mystérieuse. En mai 1968, il est sur les barricades mais, pour s'être trop fait remarquer, il doit quitter Paris. Après des retrouvailles pathétiques avec sa mère, il part à la recherche de son père, qui est au Népal, pour le faire "payer". le voici donc sur la route de Katmandu et en chemin, il rencontre la belle Jane qui s'autodétruit...
Si
Barjavel m'avait marquée il y a longtemps, ce roman ne m'a pas captivé, peut-être parce que, comme l'a fait remarquer un commentateur, il a été construit d'après le film du même nom. Quelque chose manque dans ce roman dur et amer...
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