Dans la veine directe du premier tome, un véritable chant à la liberté, à la nature et à la révolte contre l'oppression. On retrouve le cadre tropical si dépaysant, mais on affronte cette fois un ennemi bien différent et bien plus redoutable qu'auparavant.
Allende ne nous fait pas un discours contre le racisme, comme on aurait pu s'y attendre dans un récit sur l'Afrique, mais montre, à petite échelle, que les oppresseurs n'ont pas de couleur et qu'ils n'ont inventé la haine et le mépris entre les peuples que pour mieux les dominer. Cette oeuvre est d'autant plus grandiose qu'elle peut s'adresser aux enfants comme aux adultes.
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