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Critique de MonFilRouge
Avez-vous déjà entendu parler de la loi de Murphy ? Non ? Mais siiiii… Cette loi empirique énonçant que si une chose peut mal tourner alors elle finira indubitablement par mal tourner. Logique non ? Mais quel rapport avec « Je t'aime » me direz-vous ? Aimer, ce verbe de 5 lettres qui pourtant peut nous laisser un goût amer quand on le prive de son i. Et bien le rapport c'est de ce nectar plutôt haineux dont Barbara Abel a décidé de nous abreuver avec ce nouveau titre, nous entraînant lentement mais surement dans un bon thriller psychologique comme on les aime tant.
Pourquoi j'ai aimé Je t'aime ?
Ce qui me fascine chez cette auteure, et ça je l'avais déjà remarqué quand j'avais lu "Je sais pas", c'est qu'elle prend le temps d'étudier minutieusement les moindres détails des sujets qu'elle aborde dans ses livres. Ici, nous nous retrouvons tantôt aux premières loges des coulisses d'une garde à vue ... ou quelques pages plus tôt, spectateur d'un terrible accident de la circulation ... voire plus loin dans la peau d'un dealer. Aucun détail n'est épargné. Elle gère ! Et même si le thème premier est tout autre, à savoir la relation d'un couple qui va inexorablement franchir la frontière séparant l'amour de la haine, elle prend son temps jouant avec notre patience déjà mise à rude épreuve quand on s'attaque à ce genre littéraire.
Notre vie peut basculer du jour au lendemain. Notre petit cocon, ce coin de paradis atout majeur de notre quotidien peut sans que l'on s'en rende compte se transformer en un véritable enfer balayant tout espoir de faire marche arrière. La culpabilité des non-dits pèse lourd dans la balance blessant notre confiance qui lentement laisse place au mépris. Les choses vont alors s'enchaîner sans nous laisser le moindre répit. Jusqu'où serions-nous prêt à aller par amour ? Pire encore, lorsqu'il s'agit d'une famille recomposée ! Ici, ce qui est touchant, c'est la réalité de certains faits qui donnent à réfléchir. Des personnages communs, loin des psychopathes aux penchants sociopathes, Ça pourrait être vous, ça pourrait être moi et c'est ça qui nous interpelle dans l'univers de Madame Abel.
Il y a un petit bémol pourtant avec lequel je dois être honnête. La couverture dont je ne suis pas du tout fan. Et si je n'avais pas déjà découvert l'auteure dans d'autres romans, et surtout apprécié ses écrits, cette couverture aurait pu être un frein à mon achat de livre.
Pourquoi j'ai aimé Je t'aime ?
Ce qui me fascine chez cette auteure, et ça je l'avais déjà remarqué quand j'avais lu "Je sais pas", c'est qu'elle prend le temps d'étudier minutieusement les moindres détails des sujets qu'elle aborde dans ses livres. Ici, nous nous retrouvons tantôt aux premières loges des coulisses d'une garde à vue ... ou quelques pages plus tôt, spectateur d'un terrible accident de la circulation ... voire plus loin dans la peau d'un dealer. Aucun détail n'est épargné. Elle gère ! Et même si le thème premier est tout autre, à savoir la relation d'un couple qui va inexorablement franchir la frontière séparant l'amour de la haine, elle prend son temps jouant avec notre patience déjà mise à rude épreuve quand on s'attaque à ce genre littéraire.
Notre vie peut basculer du jour au lendemain. Notre petit cocon, ce coin de paradis atout majeur de notre quotidien peut sans que l'on s'en rende compte se transformer en un véritable enfer balayant tout espoir de faire marche arrière. La culpabilité des non-dits pèse lourd dans la balance blessant notre confiance qui lentement laisse place au mépris. Les choses vont alors s'enchaîner sans nous laisser le moindre répit. Jusqu'où serions-nous prêt à aller par amour ? Pire encore, lorsqu'il s'agit d'une famille recomposée ! Ici, ce qui est touchant, c'est la réalité de certains faits qui donnent à réfléchir. Des personnages communs, loin des psychopathes aux penchants sociopathes, Ça pourrait être vous, ça pourrait être moi et c'est ça qui nous interpelle dans l'univers de Madame Abel.
Il y a un petit bémol pourtant avec lequel je dois être honnête. La couverture dont je ne suis pas du tout fan. Et si je n'avais pas déjà découvert l'auteure dans d'autres romans, et surtout apprécié ses écrits, cette couverture aurait pu être un frein à mon achat de livre.
