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EAN : 9782749179650
464 pages
Le Cherche midi (22/08/2024)
3.63/5   19 notes
Résumé :
Jean est journaliste dans la presse régionale. Son métier l’amène à rencontrer différentes personnalités de la vie locale afin de faire leur portrait. Quand l’un de ses articles fait polémique, sa femme et son fils se dressent contre lui avec violence et lui reprochent d’être dépassé, infréquentable, irrécupérable.

Jean quitte alors le domicile familial pour s’installer dans un pavillon abandonné. C’est là qu’il nouera un dialogue avec les spectres…>Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (13) Voir plus Ajouter une critique
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La guéguerre des boutons ou des idées ?.
Jean Dulac est un pigiste de la presse locale Nantaise qui n'a pas la plume dans sa poche. Il fait des vagues à contre-courant pour écumer les platitudes du temps.
Il est chargé d'établir des portraits flatteurs de personnalités locales en vue mais son allergie aux postures progressistes de l'époque ne peut freiner ses saillies satiriques. Il écrit tout ce que sa voix bannie, car l'homme n'est pas d'un naturel insoumis. Ses mots font office de double vitrage face aux réactions outrées de son biotope culturel.
Pompon sur la Garonne, expression qui peut naviguer jusqu'à la Loire, quand son fils Simon participe à la diffusion sur les réseaux sociaux d'ébats d'une surveillante de son lycée, et qu'à la suite, Moussa, un copain du fiston, accuse des fachos de l'avoir tabassé sur ordre de la victime. Jean assiste impuissant à un déferlement de colères dopées aux préjugés. Il voit sa famille et ses proches rejoindre la meute de ses détracteurs dès qu'il suggère un peu de prudence dans les accusations.
Père devenu paria, mari devenu cible, l'homme tombe de l'échelle des valeurs morales, atterré que la réaction supplante la réflexion, que le statut de victime s'attache moins aux faits qu'à son genre et opinions et que la vérité importe moins que l'engagement.
Jean décide alors de quitter la ZAD conjugale. Il part habiter dans un minuscule appartement à l'arrière-cour d'un immeuble pour papoter avec certains spectres de sa connaissance… et du titre. Son cloisonnement va correspondre à l'éruption boutonneuse d'une nouvelle pandémie causée par un mystérieux virus. Plus de margoulins que de pangolins au programme et des coups de coeur dans l'eau.
Depuis « l'homme surnuméraire » en passant par « la Poursuite de l'Idéal » avec un détour par « le parti d'Edgar Winger », Patrice Jean n'en démord pas : l'époque est insensée et manque cruellement de distance. Professeur de lettres, l'auteur m'a une nouvelle fois enchanté par son style, fluide et agréable, ses citations au style Cioranesques méritent d'être collectionnées comme les sentences impitoyables d'une époque.
En début d'année, Patrice Jean avait publié un essai « Kafka au Candy-shop », sous-titré « La littérature face au militantisme », que n'aurait pas renié le regretté Philippe Muray et que « La vie des spectres » met d'une certaine façon en pratique. Si je reprends ses mots, « le roman devrait être, par essence, contraire au militantisme : un roman raconte la vie intérieure des personnages, avec leurs angoisses, leurs défauts, leurs saloperies ; il n'y a que le roman kitsch ou le roman militant pour qui tout est clair, pour qui les bons sont totalement bons et les méchants complètement méchants.»
Dans son roman, il en fait la preuve par l'absurde. Il dénonce la militance, qu'elle soit progressiste ou réactionnaire, qui aveugle la raison et impose à chacun de choisir son camp, dans une vision binaire bien éloignée de la complexité de la vie. Il n'est pas plus tendre avec la société de consommation.
Un léger bémol. J'apprécie énormément cet auteur mais je regrette que le pamphlétaire déborde de plus en plus le romancier. Ses propres idées gomment un peu la fluidité du récit, constat que j'avais déjà fait à la lecture de « Rééducation nationale ».
Merci aux Editions Cherche Midi et à Benzinemag pour l'envoi de ce roman attendu et apprécié de la rentrée littéraire.
Pourquoi ça me gratte ?
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« Chaque passant, me suis-je dit, est accompagné de ses doubles, ces chimères que l'on construit à partir d'une somme d'anecdotes et de souvenirs, un entrelacs de symboles et de phrases perdues. C'est le double que l'on aime, le double que l'on déteste. Les doubles remplacent la personne réelle, personne mobile et incertaine qu'il faudrait des années pour connaître vraiment : la réduire à son double (à son cliché) est une nécessité vitale. […] Nous vivons dans un pêle-mêle de semi-vérités, fabriqué à la va-vite. Un monde de spectres. » (p. 147) ● Jean Dulac, le narrateur, est pigiste à la rubrique des faits divers d'un journal ; il a commencé un roman dix ans auparavant : Les Fantoches – toujours en cours... Sa femme Doriane le trouve au mieux naïf et niais et ne le défend pas lorsque ses amies Sabrina ou Nadège, deux « mégères », se moquent de lui ou l'attaquent en raison de sa qualité de « mâle blanc de plus de cinquante ans ». Son fils Simon le traite de « facho » parce qu'il regarde le foot à la télé, alors qu'il a « sa carte du PCF depuis l'âge de vingt-trois ans ». Simon dénigre systématiquement ses professeurs : « Tous des cons ». Il faut dire qu'ils lui font étudier des « vieux textes » comme le Misanthrope… D'ailleurs un de ses condisciples a giflé la professeure de français, qui est partie... ● J'ai lu tous les romans de Patrice Jean, et j'ai beaucoup aimé la plupart – mais pas tous. J'adore quand il va du côté de la franche comédie, comme dans La Philosophie selon Bernard. ● Mais ici, il donne plus dans la complainte, plus précisément la complainte du mâle blanc de plus de cinquante ans. On trouve dans le livre une rhétorique geignarde plus prononcée que dans ses autres ouvrages. ● Si j'aime son côté réac décomplexé, j'ai été beaucoup moins séduit par son pessimisme invétéré, même s'il termine son roman sur une note d'espoir (?), et surtout par la caricature de la société et de la plupart des individus la composant, qu'il tente de désamorcer avec une phrase comme : « La caricature, de nos jours, court après le réel, un réel toujours en avance d'une connerie sur sa représentation romanesque. » (pp. 443-444) J'ai trouvé que c'était souvent bien lourdingue, comme sa pandémie linguistique, assez grotesque. N'est pas Marcel Aymé qui veut… ● Mais il sait aussi toucher juste : « La vie manque de style, c'est pourquoi l'art existe, pour que la forme proteste contre le débraillé de nos existences confuses. » (p. 162). A mettre en parallèle avec ce qu'il fait dire à un professeur d'Université renégat : « La littérature a toujours été liée aux classes dominantes, tant en ce qui concerne les 'producteurs' que les ‘récepteurs' […] le lexique, la grammaire, les structures narratives, les métaphores, les ellipses, les conjugaisons, tout ce qu'on nomme, avec pédanterie, le ‘style' trahit une volonté de se distinguer, de couper en deux l'humanité, entre ceux qui possèdent le code de la domination et ceux qui en sont privés… » (p. 99) ● Il n'hésite pas à se mettre en scène dans un passage plein d'autodérision : « Tenez, la semaine dernière, un client m'a demandé un roman de Patrice Jean. – Je ne connais pas. – Vous ne ratez rien, c'est un petit écrivaillon… […] – Pourquoi, c'est si mauvais que ça ? – Je n'en sais rien, je ne l'ai pas lu, […] un auteur qui n'est pas progressiste, si vous voyez ce que je veux dire. » (p. 292) ● Mais côté dynamique narrative, le roman est plutôt poussif, envahi de réflexions et de portraits au détriment de l'action. ● L'idée des spectres comme doubles des êtres, et bien qu'il y ait un spectre « réel » dans le roman, celui de Ronan, ne fonctionne pas très bien comme ciment de l'histoire ; la mise en abyme du roman avec les Fantoches, non plus ; la pandémie eczémateuse arrive trop tard. ● On se demande alors ce qui est vraiment l'objet du livre ; force est de constater que ce ne peut être que la conscience de Jean Dulac (reflet de celle de l'auteur jusque dans l'homonymie) : c'est un peu mince… ● Bref, je sors plutôt mitigé de cette lecture. ● Je remercie #NetGalleyFrance et #LeChercheMidi de m'avoir permis de lire ce roman en avant-première (publication le 22 août 2024).
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Jean Dulac aborde une crise existentielle de la cinquantaine. S'il a publié un roman dans sa jeunesse, il ne parvient pas à finaliser l'embauche d'un autre écrit. Sur le plan professionnel les temps sont durs et il est difficile d'éviter la compromission. Etre pigiste pour une revue culturelle nécessite de ménager la chèvre et le chou. Pour clore le tout, sa femme est en train de le prendre en grippe, bien soutenu par ses copines féministes. Il suffit d'une étincelle pour mettre le feu : l'implication son fils dans la diffusion de sextapes va agir comme un catalyseur de sa déchéance.

Pour pimenter le tout, une curieuse épidémie, dont le remède réjouira le monde de l'édition vient frapper le monde !

J'ai pris beaucoup de plaisir à parcourir ces lignes, qui ne sont pas sans rappeler le Voyant d'Etampes, d'Abel Quentin en particulier si l'on compare le don de ces personnages à fabriquer des pièges dans lesquels ils tombent allègrement. Et une fois le mécanisme enclenché, aucune sortie de secours n'est possible.

Beaucoup d'humour, qu'il attaque les réflexions féministes des odieuse copines, ou se retourne contre lui-même. Faussement autobiographique (Jean Dulac cite même le roman de Patrice Jean !), le récit ne manque pas de pointer les travers d'une époque complexe et dangereuse.


Une très agréable lecture !


464 pages Cherche midi 22 aout 2024
#laviedesspectresrentréelittéraire2024 #NetGalleyFrance
Lien : https://kittylamouette.blogs..
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Jean, père de famille et journaliste mène une vie tranquille à Nantes avec son fils et sa femme Doriane.
C'est un homme désabusé qui porte un regard acide sur notre époque et notre société.
Malgré les passages parfois comiques, la marche actuelle du monde le rend pessimiste, il est nostalgique de certaines valeurs ; la tournure que prennent la politique, la jeunesse, l'école, la culture, la famille, certaines moeurs (le féminisme actuel qu'il estime exacerbé), l'analyse du désir, l'amour aussi, n'échappent pas au crible de son analyse et de la satire sociale.
Il s'exclut ainsi volontairement du jeu social pour mieux observer en plongée cette société qui se délite.
Il croque des portraits satiriques, parfois comiques des personnages du roman (notamment les amies de sa femme, elles sont féministes, véganes et surfent sur les tendances à la mode.)
Un livre et un auteur à découvrir, certaines idées font écho aux nôtres, on s'identifie parfois à l'auteur, tout dépend de notre propre vision du monde, bien sûr, d'autres fois moins, certaines visions sont quelque peu éculées mais on passe un moment de lecture agréable, lorsque l'on termine un chapitre, on a envie d'en savoir davantage.
Je remercie la FNAC ainsi que les éditions du Cherche Midi pour l'envoi gracieux de ce livre dans le cadre du prix du roman FNAC.
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Patrice Jean est un écrivain français né à Nantes en 1966. Après des études de philosophie, il devient professeur de lettres modernes et se lance dans la littérature. La Vie des spectres son dernier roman vient de paraître.
Nantes. Jean Dulac, marié avec Doriane et un fils adolescent nommé Simon, est journaliste dans la presse régionale tout en s'évertuant à écrire le roman qui lui permettra de s'échapper de son job. Notre Jean n'a pas la vie facile, entre son épouse et ses copines qui le critiquent, l'une d'elles féministe féroce entreprend de le « rééduquer » et le fiston adolescent « révolutionnaire » … Fils qui se voit mêlé à une histoire de photos pornos d'une surveillante de son lycée divulguées sur internet par un de ses copains, copain bien vite tabassé pour venger la dame, mais le copain s'appelle Moussa et les tabasseurs seraient des fachos. L'affaire prend de l'ampleur, Jean écrit un article qu'il veut honnête et objectif pour son journal, scandale car pas assez critique contre les agresseurs (mais il a de bonnes raisons), sa femme ne veut plus le voir, son fils non plus, Jean délaisse le domicile familial et se réfugie dans un vieil appartement où il vécut dans sa jeunesse…
Résumé amorce, mise en bouche mais aussi exemple parfait illustrant la société actuelle. Une société que Patrice Jean va décortiquer en en montrant les multiples contradictions dans une critique acérée de notre époque. Je me suis régalé et extrêmement amusé avec ce roman aussi grinçant qu'ironique où « la caricature, de nos jours, court après le réel, un réel toujours en avance d'une connerie sur sa représentation romanesque. »
Le roman peut se voir en deux parties, celle où Jean vit avec sa famille puis celle où il sera seul dans cet appartement du passé où il revoit par la pensée ses amis d'alors, dont Ronan décédé très jeune, avec lequel il va discuter et philosopher lors de séquences oniriques, comparant le monde d'hier et celui d'aujourd'hui.
Le bouquin est tellement ancré dans la réalité qu'on a l'impression de suivre les actualités dans ses grandes lignes : féminisme outrancier, écolos, manifestations antifasciste, idéologies, presse et intellectuels de gauche aveuglés, rôle des médias, polémiques bidons, gloubi-boulga où tout et son contraire sont commentés sans arrêt, au grand désespoir de Jean qui finalement préfère les animaux, « enfin des êtres qui n'ont pas d'idées sur le monde ! » Jean ne comprend plus cette époque et tente d'en analyser les raisons, la perte de sens des mots (« Qui adopte le langage de son temps en embrasse aussi les poncifs »), les discours creux où les grands mots cachent le manque d'idées, les slogans faciles, les tics de langage (« Trop contente ! Trop contente ! »).
Pour son journal il doit rédiger des portraits de personnalités locales, mais son esprit acerbe rend son rédacteur en chef fou (d'une romancière il écrit « elle est inspirée par les lieux communs ! Lapalissade et Banalité sont ses muses ! »).
Avec un esprit subversif l'écrivain traite de l'isolement, Jean est à l'âge où l'on fait des bilans, la vieillesse n'est pas loin et les jeunes sont difficiles à comprendre (« La jeunesse est sans pardon. Elle puise dans son inexpérience la violence avec laquelle elle flagelle ses aînés »), bientôt ne resteront que les souvenirs et encore, que valent-ils ? Mélancolie… ; critique sociale ironique quand on en fait ressortir les contradictions, les nouvelles normes adoptées par la société. Pour Jean il ne lui reste plus qu'à « transformer mes contemporains en ectoplasmes : je suis réel, ils sont irréels. »
L'auteur égratigne aussi largement la littérature d'aujourd'hui, certains écrivains, les éditeurs, les lecteurs et ça vaut son pesant de cacahuètes ! J'arrête là car recenser tous les sujets abordés serait trop long.
Un excellent roman, très bien écrit, plein d'humour mais aussi sujet de réflexion.
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critiques presse (1)
RevueTransfuge
21 août 2024
Le satiriste Patrice Jean, avec La vie des spectres, dépeint avec scepticisme mais aussi avec affection, le monde d’aujourd’hui, parti à la dérive.
Lire la critique sur le site : RevueTransfuge
Citations et extraits (9) Voir plus Ajouter une citation
On considérait, depuis des dizaines d'années, que lire, en soi, vous octroyait du mérite. Les professeurs se félicitaient que des élèves lussent des mangas et des romans "citoyens", les libraires de vendre des livres, quels qu'ils soient, et les parents que Théo adore d'infâmes bouquins. En quoi lire n'importe quoi, pensais-je, aiderait-il un individu à se délester des clichés dont il nourrit ce qu'il appelle sa pensée, et qui n'est que la récitation de ces clichés ? N'existe-t-il pas, aujourd'hui, toute une littérature qui renforce les poncifs et lustre d'un éclat littéraire les préjugés du lecteur, et de la lectrice ? Si, par le passé, les conditions historiques de la production littéraire avaient toléré et même encouragé des oeuvres qui torturaient, pour son bien, le lecteur, le présent célébrait, de plus en plus, les livres qui le chouchoutaient et offraient de lui une image complaisante, jusqu'à lui laisser croire que tel roman inoffensif était "dérangeant", et qu'en se confrontant, par ce roman, à la totalité de ses propres préjugés bien-aimés, il briserait tous les tabous de la société.

p. 393
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J’avais envie de leur dire : Non ! Non ! Devenez dentiste, champion de boxe, marin, P-DG, chirurgien, mais n’ambitionnez pas de vivre de vos écrits ! L’écrit, ça ne représente plus rien. Pensez à toutes ces boîtes à livres qu’on trouve un peu partout dans les villes et les villages ! croyez bien que si les livres avaient de la valeur, personne ne les abandonnerait où que ce soit ! Existe-t-il des boîtes à smartphones ? Des boîtes à bijoux ? Ou même des boîtes à tubes de dentifrice ?
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Existe-t-il un seul être humain, depuis l’ère quaternaire, qui ait mesuré, dans toute sa vérité, le degré d'indifférence dont il était universellement l'objet ?
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Elle était de ces personnes, plutôt rares, qui ne cherchent pas l’approbation de la société, et qui s’inclinent uniquement devant des puissances invisibles.
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J’ai trop lu. Je me suis éloigné de la rive, de notre époque et de ses vivants.
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Vidéo de Patrice Jean
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