Chacun pense à la fin, l'appréhende, mais les mots prononcés, les gestes assumés tracent déjà les points de suspension d'une phrase commencée.
Alors on imagine une strophe, un paragraphe, et c'est un roman qui s'annonce avec ses chapitres, ses drames et son point final.
Quelques centaines de pages plus tard, l'histoire est bouclée.
Les livres se referment et les amours se tuent.