Bergman m'invita sur son île deux ou trois fois, mais je m'arrangeai toujours pour éviter d'y aller. Je vénérais l'homme en tant qu'artiste, mais qui a envie de prendre un petit avion pour rejoindre une île possédée par les Russes, déserte à l'exception de moutons, et se faire servir un yaourt pour tout déjeuner ? Ma ferveur ne va pas jusque là.